C’est ainsi qu’en guise de batterie, on retrouve ici deux piles
alcalines AA, dont l’autonomie annoncée devrait assurer environ 250
prises de vue avant de lâcher. Quant au stabilisateur, il n’est
qu’électronique, fatalement moins efficace que son homologue optique.
Enfin, la résolution de l’écran 2,4 pouces (6,1 centimètres) est un peu
faiblarde puisqu’elle ne dépasse pas les 115 000 pixels.
Le P50 ne manque pas d’arguments pour autant. La sensibilité est
plutôt élevée avec ses 2000 Iso. De plus, un mode manuel est présent
sur ce compact. Les utilisateurs avertis pourront ainsi régler
l’ouverture et la vitesse d’obturation eux-mêmes pour obtenir un
résultat adapté à leurs besoins. Les autres pourront aisément se
contenter des 15 modes scène, qui devraient couvrir la majorité des
conditions d’exposition. Les modes 3/2 et 16/9 sont également de la
partie. Enfin, si l’écran est susceptible de poser problème au moment
de prendre des photos, notamment en conditions de forte luminosité, un
viseur optique a été intégré par le constructeur.
La mémoire interne de 28 Mo devra évidemment être complétée par une
carte mémoire au format SD ou SD Haute Capacité. Relativement imposant
pour un compact, 160 grammes sans carte ni batterie, le Coolpix P50
devrait être disponible dans le courant du mois de septembre en deux
coloris, noir et argent.
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