C’est la mise à jour de printemps. Pentax ne déroge pas à la règle etannonce donc de nouveaux compacts. En l’occurrence, un nouveau bijoucompact. Successeur du S10, le S12 reprend, dans une très grande mesure,les spécifications de son aîné.
On note un changement au niveau du capteur, qui grossit un peu entaille et passe de 10 à 12 Mpixels. Une fois encore, il faudra voirl’usage qui en est fait. Notamment si, lors de la montée en ISO, lacompensation par une baisse de la résolution est intéressante. Commepour le S10, la sensibilité maximale est fixée à 3200, ce qui, commesur la plupart des compacts, revient généralement à rendre un hommagediscret à Georges-Pierre Seurat. La limite inférieure des ISO passe, enrevanche, de 64 à 50 ISO.
Notons également au rayon des améliorations par saut de puce,l’accroissement considérable de la vitesse de réaction de l’appareil.On passerait ainsi d’un déclenchement en 0,02 seconde à undéclenchement en 0,006 seconde. Autant dire que si la promesse esttenue, la vitesse devrait être au rendez-vous. D’autant que cettevélocité théorique pourra être couplée à la technologie de détection devisage (jusqu’à 15) et au mode anti-flou pour réussir vos clichés enmouvement.
Soulignons enfin la montée en puissance du zoom numérique, qui atteintle multiplicateur 6x (au lieu de 4x). Pointons négligemment du doigt lavidéo stabilisée qui peut être enregistrée au format DivX.
Et finissons en beauté par le plus important, le S12 est disponible en « quatre jolies couleurs » : noir, argent, rose pâle et vert d’eau… Unchoix qui ne change pas le prix d’un iota, qu’on se le dise.
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