Annoncé la semaine dernière, Opera 11 fait sa première sortie officielle sous la forme d’une version alpha. Le navigateur est disponible en téléchargement en anglais et pour Windows uniquement. Il intègre pour la première fois les extensions, ces greffons logiciels qui permettent d’ajouter des fonctions à un navigateur.
A ce stade, le catalogue d’extensions disponibles pour Opera 11 alpha est modeste. Quatorze modules sont mis à disposition sur une page spéciale : outils de téléchargement de vidéos YouTube, de raccourcissement d’URL, tchat sur Facebook, traduction… Leur installation et leur gestion sont très simples, comme sur Google Chrome.
A chaque module est associée une page de description, avec captures et commentaires des utilisateurs. Il n’est pas nécessaire de redémarrer le navigateur après l’installation. Les extensions installées peuvent être gérées par le biais d’une page dédiée, sur laquelle il est possible de désactiver ou de désinstaller chacune d’elles. A première vue, la plate-forme fonctionne très bien, même sur cette version alpha, a priori instable.
L’éditeur Opera encourage les développeurs à produire leurs propres extensions pour son navigateur, en mettant l’accent sur la compatibilité de sa plate-forme avec les standards du Web. Aucune date n’a été communiquée pour la disponibilité de la version finale du logiciel.
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