Lancé à l’occasion des 25 ans de la série, le nouveau Zelda débute dans une cité suspendue au-dessus des nuages. Dès le début, la princesse est enlevée par une force maléfique et conduite sur Terre. Pour la retrouver, Link va devoir explorer des régions et des donjons d’une variété encore jamais vue dans la saga. Les énigmes se révèlent plus fouillées que d’habitude. Avantage : le héros peut retourner dans son monde dès qu’il le souhaite, pour réparer son bouclier, acheter de l’équipement et même l’améliorer. Mais la grande innovation de Skyward Sword repose sur la prise en charge du Wii MotionPlus. Dire que la précision nous a surpris est un euphémisme. La manette répond aux sollicitations les plus subtiles. Heureusement, car l’essentiel des combats repose sur son utilisation. Inutile de mimer les coups d’estoc et de taille comme un furieux, tout est affaire d’observation et de timing. Selon la garde d’un ennemi voire son attitude, il faudra le frapper de bas en haut, en diagonale ou le piquer de la pointe de l’épée. Jamais les combats ne nous ont paru aussi éprouvants nerveusement. Autre nouveauté, l’apparition de la jauge d’endurance qui conditionne la durée maximale d’un sprint. Pour regagner instantanément de la vigueur, il faut ramasser des boules vertes disséminées dans le décor. Certaines épreuves de course nécessitent donc d’optimiser ses déplacements, par exemple pour échapper à un piège ou un ennemi. Doté d’une durée de vie très importante et servi par des graphismes colorés et souvent poétiques, ce nouveau Zelda est un bel hommage à la série.
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
