Légers, performants, autonomes, les nouveaux ultraportables de 11,6 À 15,6 pouces de diagonale veulent mettre un terme au succès fulgurant des miniportables Low Cost.
La polémique va bon train entre miniportables et ultraportables, alias netbooks et subnotebooks. Si en cette fin d’année, près d’un PC portable sur quatre vendus est un netbook, nombre de fabricants contestent à ces appareils bon marché le droit d’être un ordinateur ! Sous prétexte qu’ils n’assureraient pas l’ensemble des services qu’un “ PC ” doit délivrer ou que les déçus seraient de plus en plus nombreux. Autre son de cloche chez Toshiba pour qui neuf utilisateurs de miniportables sur dix auraient déjà un, voire deux autres PC (source GfK) . Alors entre réalité économique et mauvaise foi, une chose est claire : à moins de 350 euros, les fabricants de miniportables ne s’y retrouvent plus en terme de marges. Il est temps pour eux d’en finir avec ces portables motorisés par des puces Atom, à l’origine des “ sous-processeurs ” à basse consommation pour faire tourner les MID, des tablettes Internet mobiles dont plus personne ne parle ! En tournant la page Atom, Intel ouvre celle des CULV…Avec C pour Consumer et ULV pour Ultra Low Voltage , ce nouvel acronyme se traduit par “ plates-formes à très basse consommation pour nous autres clients lambda ” . La promesse est donc de nous proposer des PC portables performants, autonomes et à petit prix. Autrement dit le haut de gamme des PC portables d’il y a à peine deux ans pour deux à trois fois moins cher.Séduisant a priori, mais en réalité ? Dans ce comparatif, nous avons testé tous les PC portables CULV et apparentés (voir encadré ci-dessous) du marché. Première constatation, si toutes ces puces sont à basse consommation, toutes ne se valent pas.
L’art de brouiller les puces À l’exception du Wind U210 de MSI qui embarque un Athlon Neo à simple cœur signé AMD (le plus lent du lot), tous les autres modèles sont équipés de puces Intel. Le Celeron M du Packard Bell est le processeur le moins récent, mais il est dans le haut du panier des mono-cœurs. Pour le reste, bien malin – à moins de mettre le nez dans la nomenclature du fondeur – qui s’y retrouvera. Entre les processeurs à simple et à double cœur et ceux qui sont estampillés Celeron, Pentium, Core 2 Duo, Core 2 Solo comment s’y retrouver ? Outre nos procédures de tests, un indice ne trompe pas, celui du processeur de Windows 7 : dès qu’il passe la barre des 3,9, c’est qu’il s’agit d’une puce à double cœur relativement performante. Et notre conseil est simple : un double cœur sinon rien ! En revanche, ne regardez plus du tout les fréquences de fonctionnement des processeurs, elles ne veulent vraiment plus rien dire ! (voir l’Oi n° 220, p. 38) .Après les puces, venons-en aux machines proprement dites. Les formats vont du petit 11,6 pouces (29,4 cm) au très imposant 15,6″ (39,6 cm) en passant par les très classiques 13,3″ (33,78 cm) et 14″ (35,56 cm). La mobilité est à l’honneur puisque les poids oscillent ? batterie incluse – entre 1,5 kg et 2,3 kg. S’il ne faut rien attendre de leurs performances graphiques, toutes ces machines savent en revanche décoder de la HD et la quasi-totalité d’entre elles embarque une sortie HDMI. En revanche, n’espérez pas sortir du casual gaming, les composants graphiques ne s’y prêtent pas. Pour jouer sérieusement en 3D, il y a des PC portables taillés pour ça ! Des modèles qui seront en revanche beaucoup plus lourds et moins autonomes.
Autonomes mais plus chers L’autonomie, parlons-en ! D’à peine plus de deux heures (avec un AMD) à près de 6 h 30 avec le processeur Core 2 Duo SU7300, l’autonomie moyenne de ce comparatif est d’environ 4 h 20 en lecture DivX, écran allumé au maximum… Pour la comparaison, un miniportable Asus EeePC 1008HA de base dépasse à peine les 3 h sous Windows XP. Les CULV sont donc bien les champions de l’autonomie, aidés en cela par Windows 7. À noter que ces durées peuvent même être dépassées en jouant sur les réglages et en ne sollicitant pas trop l’ordinateur.Pourtant si les netbooks semblent dépassés du point de vue des performances, de l’équipement et de l’autonomie, cette génération de CULV pourra difficilement convaincre ceux qui recherchent les prix les plus bas, les meilleurs modèles étant globalement deux fois plus chers que des miniportables low cost. En revanche, les technophiles qui ont toujours été rebutés par le tarif stratosphérique des ultraportables peuvent se réjouir : les prix se sont effondrés…
Les processeurs Intel SU aux rayons X Les puces Intel “ basse consommation ” sont gravées en 45 nm et sont issues des familles Core 2 Duo, Core 2 Solo, Pentium et Celeron. Seule la mention “ SU ” les distingue des autres processeurs mobiles Intel. Ils fonctionnent avec le chipset GS45 ainsi qu’avec un jeu de composants consommant au plus 12 W. L’enveloppe thermique (TDP) se cantonne à quelques dizaines de watts (5,5 W pour les Core 2 Solo), la fréquence du ou des cœurs présents demeure peu élevée (1,6 GHz maximum) et la quantité de cache L2 (2 à 3 Mo) est aussi réduite. L’usage de la DDR2 est privilégié pour des questions de coût mais la DDR3 est possible. Car les SU ne sont pas des processeurs au rabais ! Toutes les technologies “ bleues ” et instructions habituelles sont présentes : SSE4, Intel Speedstep Technology, Intel 64 Architecture, Virtualization Technology (uniquement sur certaines références). AMD est faiblement représenté car ses puces sont peu économes ni autonomes, fait gênant pour de la “ basse consommation ” mobile.
Comment nous avons testé La puissance globale de chaque PC a été mesurée au moyen du logiciel PC Mark Vantage, qui évalue aussi bien les capacités du processeur que la rapidité de la mémoire et du disque dur. Pour les performances graphiques en 3D, nous avons fait appel à 3DMark 2006, adapté aux petites machines. Pour enrichir et conforter ces résultats, nous publions l’outil de mesure de performances intégré à Windows 7.
Au moyen d’un wattmètre, nous avons mesuré la consommation électrique des PC au repos ? c’est-à-dire sur le bureau Windows, sans rien faire ? et en charge. Pour obtenir la valeur maximale, nous avons poussé aussi bien le processeur central que la puce graphique dans leurs retranchements (100 % d’utilisation), avec une occurrence de CPU Burn par nombre de cœurs et la démonstration technique Rthdribl qui sollicite la puce graphique intensément.
Nous mesurons le volume sonore des PC en charge dans notre salle sourde, isolée de l’extérieur par des matériaux absorbants plaqués sur les murs. Nos testeurs utilisent un sonomètre placé à 50 cm du PC alors que celui-ci est en charge maximale depuis au moins 10 minutes.
Un premier test consiste à capter deux sites de musique en ligne, la luminosité de l’écran poussée à fond. Écouter de la musique occupe en effet la carte Wi-Fi en permanence, tandis que les sites musicaux, bardés d’animations en Flash, sollicitent intensément le processeur central. La seconde méthode est basée sur la lecture en boucle d’un fichier DivX, l’écran toujours à son maximum.
Mesurer les performances des ordinateurs ou encore établir la liste des composants intégrés, c’est bien mais pas souvent parlant pour tous les lecteurs, notamment les plus néophytes d’entre vous. Ainsi, cinq journalistes de 01Lab se sont constitués en jury pour apprécier les qualités de l’écran, du son, du clavier et du dispositif de pointage. Ils ont chacun attribué une note de 1 à 5, justifiée par leur ressenti et leur expérience.
Asus – UL30A-QX090V : L’increvable Avec une autonomie de 6 h 20 min , de bonnes performances – sauf en 3D – et une ergonomie appréciée de notre jury, en particulier celle de son clavier, cet Asus s’annonce sobre et efficace. Seul son pavé tactile peut dérouter.
Toshiba – Satellite T130-12G : Le séducteur Ce portable a séduit nos journalistes même si, comme les autres modèles, il n’est pas exempt de petits défauts. Comme pour le gagnant, son format de 13,3″ est un indéniable atout. C’est le roi du compromis, avec un prix de 600 euros particulièrement bien étudié.
Asus – UL30A-QX090V : Le plus endurant Sa première place, il la doit à son autonomie, mais aussi à la qualité de sa frappe et du son.
Voici le PC portable le plus autonome de notre dossier. Dès lors, il sera inutile d’optimiser beaucoup les réglages pour que celui-ci encaisse une pleine journée d’un travailleur acharné. Avec une consommation électrique, à pleine charge, de 15,7 W seulement, il ne pose un genou à terre qu’au bout de 6 h 20 d’utilisation, en lecture de DivX, donc beaucoup plus en bureautique ! C’est mieux que le MSI X400 pourtant livré avec deux batteries. Reprenant le look de l’UL 20 (un 12″) mais en plus grand (écran 13,3″), on retrouve un capot noir métallisé, des lignes épurées et un toucher agréable. Dans sa robe noire, l’UL30A-QX090V est comme on les aime : sobre et raffiné. Son pavé tactile, aussi inédit qu’étrange, se distingue à peine de la coque du portable. Quant au clavier chiclet (aux touches en forme de carré de chocolat), il a séduit notre jury avec sa frappe ferme et rassurante. En revanche, la qualité de l’écran de 33,7 cm de diagonale n’a pas fait l’unanimité avec des critiques portées par les uns sur la fidélité des couleurs et par les autres sur les angles de vision. En revanche, la partie audio nous a convaincus. On peut visionner un film ou écouter de la musique sur l’UL30A-QX090V sans avoir recours au casque. Enfin, précisons que ce nouvel Asus obtient les meilleures notes en bureautique de notre dossier, avec en particulier un excellent indice disque dur.
Les plus
L’autonomie Le confort d’utilisation La qualité sonore
Les moins
Fidélité des couleurs Angles de vision
Prix
740 euros environ
Acer – Aspire 1810TZ-414G45n : Presque tous les atouts en poche Le fabricant taiwanais étoffe sa gamme Timeline avec cet ultraportable à écran de 29,4 cm de diagonale (11,6 “), dans la droite ligne de ses grands frères. Les finitions sont satisfaisantes. Sous le capot se dissimule un Intel Pentium SU4100, processeur double cœur, relativement apte à la plupart des usages que nous sommes en droit d’attendre d’une machine de ce gabarit. En ce qui concerne l’autonomie, les 4 h 30 sont atteintes en lecture vidéo ce qui reste dans la moyenne haute de notre comparatif, même si c’est loin derrière Asus. De quoi regarder tranquillement un film le temps d’un Paris-Marseille en TGV. Enfin, si le pavé tactile multipoint s’avère à l’usage agréable et réactif, notre jury n’a en revanche pas été enthousiasmé par la qualité du clavier.
Les plus
Finitions Autonomie Place du VGA
Les moins
Qualité sonore Clavier mou Légèrement bruyant
Prix
500 euros environ
Asus – UL50VG-XX031V : Pour les joueurs du dimanche Avec son écran extralarge de 39,6 cm de diagonale (15,6″), cet Asus UL50VG joue dans la cour des machines polyvalentes. Plus question ici de se limiter à une utilisation bureautique de base. Avec sa carte graphique Nvidia, cet ultraportable taquine même les performances 3D de certains portables “ classiques ” ? ce qui permet de jouer occasionnellement ? bien que l’autonomie en pâtisse légèrement. Par ailleurs, ce “ mastodonte ” pêche par sa dalle qui vire au rouge. Si ce défaut est supportable, on est en revanche un peu plus gênés par le pavé tactile, trop abrasif à notre goût. Heureusement, le clavier, avec pavé numérique et touches “ carrés de chocolat ” , ainsi que le système audio rattrapent le coup. Enfin, la qualité audio s’avère très bonne, et cela, malgré l’absence de caisson de basses.
Les plus
Performances 3D La qualité audio
Les moins
Le touchpad La dalle qui tend au rouge
Prix
800 euros environ
Dell – Inspiron 11z : Des choix bien étranges… Cet ultraportable avec écran de 29,4 cm nous a laissés perplexes. Tout d’abord sa configuration ne le met pas en valeur : pas de petits plus ergonomiques et un châssis trop banal. Mais surtout, il souffre de trois défauts majeurs. Ainsi le touchpad, à cause de sa surface multipoint, transforme le pointage et les clics ? aussi bien droit que gauche ? en véritable exercice de style. L’épaisseur de la batterie provoque une inclinaison du portable vers l’avant : très mauvais pour les poignets qui ne reposent pas correctement sur la partie du châssis étudiée à cet usage. Et quid d’une énigmatique touche Eject alors que le portable n’a pas de lecteur optique ? Pour finir sur une bonne note, l’Inspiron affiche une autonomie qui atteint les 4 h, voire plus en optimisant les profils batterie dans Windows 7.
Les plus
Qualité sonore Performances Espace disque
Les moins
Dispositif de pointage Batterie épaisse Design banal
Prix
500 euros environ
Toshiba – Satellite T130-12G : Bonne pioche ! Le Satellite T130 est un joyeux compagnon de voyage. Son poids de presque 1,8 kg, auquel il faut ajouter les 370 g de l’adaptateur, est dans la moyenne et son écran de 33,7 cm (13,3″) respecte un bel équilibre des couleurs. L’élégance et la simplicité du design sautent aux yeux, tandis que les performances distillées par le processeur Pentium SU4100 sont parmi les meilleures mesurées dans ce comparatif. Elles sont en tout cas largement suffisantes pour aborder toutes les tâches bureautiques et multimédias sans se poser de question. L’autonomie en lecture DivX (4 h 45) est bonne et place le Satellite dans le peloton de tête. Enfin, signalons la présence d’un système de protection de disque dur intelligent capable de bloquer la tête de lecture dès le moindre choc ! Attention, il a tendance à chauffer en usage intensif.
Les plus
Bonne autonomie Design élégant Performances hors 3D
Les moins
Chaleur dissipée Consommation électrique au repos
Prix
600 euros environ
Samsung – NP-X420-JA05FR : À la page ! C’est le qualificatif qui vient à l’esprit avec ce Samsung X420 plutôt bien équipé ? graveur de DVD externe, 4 Go de mémoire vive DDR3, etc. ? et agréable à l’usage grâce notamment à sa dalle Led de 35,8 cm (14″). Son processeur, un Pentium SU4100 à double cœur basse consommation, lui permet d’être à la fois puissant et économe. Si l’autonomie de l’ordinateur est plutôt bonne (4 h 10 en moyenne), nous sommes ici loin du Paris-Barcelone de 9 h 30 annoncé par le fabricant. Si son châssis semble manquer de rigidité, ce n’est qu’en apparence, un cerclage métallique assurant le renfort de l’ensemble. En pratique, le confort de frappe est agréable et le pavé tactile multipoint réactif. Difficile finalement de prendre ce Samsung en défaut puisqu’il a obtenu la meilleure note d’ergonomie auprès de notre jury.
Les plus
Autonomie Ergonomie Graveur de DVD externe
Les moins
Flexibilité du châssis Webcam décevante
Prix
700 euros environ
Samsung – NP-X520-JB03FR : Comme deux frères Étrange, ce Samsung X520 qui est en quelque sorte le grand frère du X420 dont il partage la plupart des caractéristiques techniques. Il séduit juste un peu moins. Un peu plus encombrant avec son écran de 39,6 cm de diagonale (15,6″), plus lourd de 300 g batterie incluse, il présente en revanche l’avantage d’intégrer un pavé numérique et un lecteur-graveur de DVD interne. Son processeur Intel Pentium SU 4100, ses 4 Go de mémoire vive DDR3 et sa résolution d’écran de 1 366 points par 768, sont strictement identiques à ceux du X420. C’est donc globalement le même en un plus grand et donc moins mobile. Il partage aussi le même châssis souple et étrange, ainsi que le même revêtement salissant (mat à l’intérieur et brillant à l’extérieur).
Les plus
Grand écran Ergonomie Équipement
Les moins
Flexibilité du châssis Coque extérieure salissante Webcam décevante
Prix
700 euros environ
Asus – UL20A-2X027X : Il a fière allure Cet ultraportable à écran de 30,7 cm de diagonale (12,1″) et aux lignes épurées tout en finesse est la machine ultranomade quasi idéale. Au premier coup d’œil, on se laisserait prendre par son capot en aluminium brossé. Dommage que l’intérieur de la machine soit moins flatteur. Le pavé tactile “ micro perforé ” est accrocheur, certes, mais parfois pénible à utiliser. Si le clavier chiclet est assurément confortable avec ses touches en forme de carrés de chocolat et bien écartées, on peut lui reprocher une frappe un peu molle. Les performances sont satisfaisantes pour une machine de ce gabarit, l’autonomie (4 h 30) est moindre que celle de son grand frère. On aurait préféré retrouver ici la batterie 8 cellules de l’UL30A (6 h 20), quitte à payer un peu plus cher.
Les plus
Format compact Qualité de l’écran
Les moins
Clavier douteux Touchpad Processeur poussif
Prix
650 euros environ
HP – Pavilion DM1-1010EF : Bien conçu, mais poussif… Voici une offre intéressante pour passer à Windows 7 sans investir dans un portable coûteux. Pour 500 euros, ce Pavilion intègre tout l’équipement et la puissance nécessaires pour vaquer à la plupart des loisirs numériques, montage vidéo et jeu 3D exceptés. Côté autonomie, il ne passe pas la barrière des 4 h, ce qui est suffisant pour regarder un film dans le train mais nettement inférieur à la moyenne de ce comparatif. Mais ce CULV a d’autres atouts à offrir, comme son poids de 1,5 kg et son équipement ? malgré l’absence de Wi-Fi à la norme 802.11n ? complet (Windows 7, écran 11,6″ soit 29,4 cm, 320 Go intégrés, 3 prises USB et sortie HDMI). Pas de quoi crier à la machine de guerre bien sûr, mais pour les tâches de tous les jours, il se montre parfaitement capable.
Les plus
Configuration équilibrée Design – poids
Les moins
Processeur Autonomie Pas de Wi-Fi 802.11n
Prix
500 euros environ
Packard Bell – Dot M/U : Mieux qu’un netbook ? Avec son écran de 29,4 cm de diagonale (11,6″) et son 1,42 kg sur la balance, ce Dot se place parmi les plus petites configurations de ce dossier. Son équipement est minimal, avec en particulier juste 2 Go de mémoire. Dès lors, ses performances s’avèrent honorables en bureautique pour une machine à puce simple cœur. Si notre jury a jugé moyenne la qualité du clavier, du touchpad et de l’écran, l’exception provient du son délivré par la machine, considéré comme assez bon. On peut en effet écouter de la musique ou regarder un film sans casque ! L’autonomie a été mesurée aux alentours de 3 h 20 en lecture DivX. Ce qui représente l’une des plus faibles de ce dossier. C’est du même ordre que celle du dm1-1010ef de HP. Si cet ultraportable est en retrait face à la concurrence, son prix canon en fait une véritable alternative aux netbooks.
Les plus
Qualité audio Prix agressif Petit format
Les moins
2 Go de mémoire Faible autonomie
Prix
400 euros environ
Toshiba – Satellite T110-107 : Une petite perle de mobilité Le fabricant nippon marque des points avec le T110. Non pas que Toshiba innove sur la configuration, moins nerveuse que la moyenne, mais son châssis est constitué de plastiques de qualité semblable à du carbone. Le clavier délivre un bon confort de frappe et le repose-mains est suffisamment bien dimensionné pour les longues sessions de saisie, ce qui change des netbooks. Toutefois, ce Satellite souffre d’un défaut évident : le niveau de sortie des enceintes est trop bas et c’est vraiment dommage, le casque restant la seule façon de profiter d’un film ou de morceaux de musique. En revanche, l’écran de 29,4 cm (11,6″) est un des meilleurs testés ici. Un réel argument pour Toshiba qui allie mobilité, ergonomie et confort avec brio.
Les plus
Design séduisant Ergonomie Silencieux
Les moins
Performances Niveau sonore Processeur simple cœur
Prix
500 euros environ
MSI – X400-077FR : Trop de défauts Malgré ses dimensions assez grandes, en raison de son écran de 35,5 cm (14″), le X400 de MSI garde un poids très raisonnable (1,5 kg). Il pourra donc assez facilement vous suivre en toute occasion. D’autant plus que les deux batteries avec lesquelles il est livré procurent ? cumulées ? une bonne autonomie. La deuxième de ce dossier avec environ 6 h de fonctionnement continu. En revanche, les performances générales sont très faibles, en raison d’un processeur à simple cœur et de deux petits gigaoctets de mémoire vive. Enfin, le jury est unanime : si le clavier, le pavé tactile et la qualité audio sont médiocres, l’écran, quant à lui, a particulièrement déçu en recevant la moins bonne note de ce dossier.
Les plus
Deux batteries Poids pour un 14″ Lecteur optique externe
Les moins
Performances globales Écran Finitions
Prix
650 euros environ
MSI – WIND U210 : Le bon dernier Coincé dans un corps de gros netbook (13,1″), ce portable est le seul du comparatif équipé d’une puce AMD. Malgré son processeur cadencé à 1,6 GHz et une puce graphique signée ATI, ses performances sont les plus faibles de ce dossier. Idem pour son autonomie : à peine deux heures et dix minutes que ce soit en lecture de film ou en surf intensif. Totalement insuffisant et presque indigne d’un portable récent. A fortiori pour un ultramobile. Côté ergonomie, il n’a pas su séduire et se retrouve soit dans la petite moyenne, soit en bas du tableau. Et il souffre d’un gros défaut : ses patins avant sont mal placés et la machine bascule si on appuie trop ses paumes sur le repose-mains. Il lui reste son prix plancher, seul réel argument d’une machine qui aurait mérité un peu plus de soin.
Les plus
Prix attractif Design sympathique
Les moins
Autonomie Performances Ergonomie
Prix
460 euros environ
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