Au doigt
Le portable B1000, d’Asus, qui est vendu 2 744 euros (18 000 F), (voir l’OI n?’ 134, de décembre 2001), est équipé en standard d’un lecteur de reconnaissance des empreintes digitales. Toshiba propose le sien, en option, au format PC-Card pour assurer la protection de ses portables Satellite Pro 4600 et Tecra 8200. Il coûte 273 euros (1791 F). Aux Etats-Unis, l’Ethenticator 2500, d’Ethentica, muni d’une prise USB, vaut 143 euros (938 F).
A l’?”il
Aux Etats-Unis, Panasonic commercialise l’Authenticam, caméra fournie avec un logiciel de reconnaissance de l’iris. Elle coûte 264 euros (1730 F). Les caractéristiques de l’iris sont aussi individualisées que les empreintes digitales. La sécurité est même accrue. Car les lecteurs d’empreintes digitales peuvent être trompés par des répliques de doigt. Ce qui n’est pas le cas, jusqu’à aujourd’hui, avec les dispositifs de sécurité basés sur la reconnaissance de l’iris.
A la clé
L’utilisation de clés électroniques personnalisées que l’on connecte, par exemple, au port USB des PC pourrait permettre de les protéger. Mais, en cas de perte, tout individu qui se procure la vôtre peut mettre votre PC en service. Cette technique est aujourd’hui utilisée surtout pour protéger des logiciels professionnels contre le piratage ou permettre le démarrage de logiciels de cryptage de données.
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