L’éditeur néerlandais du progiciel de gestion de contenu DialogServer, manifeste 5 mois plus tard plus de tranquilité : une quinzaine de partenaires intégrateurs sont présents à l’appel (dont ATOS, Cap Gemini ou Cosmobay), et quelques grands comptes supplémentaires (Galeries Lafayette, L’oréal,…) viennent étayer l’implantation de l’entreprise en France. Une performance intéressante pour un produit dont le ticket d’entrée s’élève à 200 000 euros.Sans pour autant parler d’examen de passage réussi, Tridion affiche une stratégie de développement intéressante sur le marché de la gestion de contenus.“Nous vendons un progiciel, pas une solution prête à l’emploi “, explique Jos Dikhoff, président de la société.De cette vision découlent des choix techniques particuliers. Contrairement à Vignette, Tridion ne fournit pas de déclinaisons verticales de son produit et préfère se concentrer sur ses deux solutions de base : Content Management System et Publication et Presentation System.
Définition visuelle du workflow
Malgré cette philosophie, DialogServer 4.3 introduit son lot de nouveautés, tel Content Porter. Il s’agit d’un middleware chargé de transformer les informations stockées dans une base SQL en données XML. Le produit construit pour chacun des champs d’une table un modèle de document XML (DTD) ou, à l’inverse, exporte des données XML vers une table relationnelle.Dialog server 4.3 intègre également Microsoft Visio 2002 comme interface graphique par défaut, ce qui autorise la mise au point visuelle de circuits de processus (copie, validation, publication…). Enfin, Tridion annonce le support dUnicode, une tablature de 34 168 caractères en 24 langues.Un atout pour un produit dont la spécialité reste la gestion de contenus localisés, donc potentiellement internationaux.
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