La faiblesse face aux spécialistes
comme Webroot était flagrante. Trend Micro se limitait en effet à la détection des
logiciels espions. Un retard aujourd’hui comblé. ‘ Suite à la création d’un centre de recherche sur les spyware, nous avons ajouté des capacités
d’éradication à notre dernière génération de logiciels ‘, explique Frédéric Saulet, responsable marketing produit chez Trend Micro.Comme de nombreux concurrents, Trend a choisi une approche multiniveau. Au niveau de la passerelle web, InterScan Web Security Suite 7 filtre les flux HTTP et FTP pour empêcher les espions d’accéder au réseau local ou de
rapatrier des informations à partir d’un PC contaminé.
Un serveur centralisé
OfficeScan 7 empêche, de son côté, les programmes suspects de s’installer sur les serveurs et les postes de travail. En cas d’infection, le nettoyage et la restauration s’effectuent depuis un serveur centralisé
baptisé Service Damage Cleanup. Celui-ci peut lancer ses propres analyses, notamment sur des postes non protégés.La restauration consiste à supprimer les fichiers installés par l’espion, à effacer ses entrées dans la base de registre et à ‘ tuer ‘ les process qu’il exécute. Comme pour tous les logiciels de Trend Micro,
l’administration peut être centralisée depuis la console web Control Manager. Ajoutons qu’OfficeScan 7 est compatible avec la plate-forme
NAC de Cisco (contrôle des postes de travail pour l’accès au LAN).
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