Notre infrastructure est prête, nous allons commencer par utiliser totalement SMHD. Par mesure de précaution, nous avons, en effet, conservé quelques liaisons Transfix. Mais, maintenant que nous maîtrisons parfaitement la technique, cela n’a plus de sens “, observe Gérard Sarrazin. Toutefois, par crainte d’erreurs lors des changements applicatifs, la solution ATM retenue ne gère pas les classes de services. Elle se contente d’un routeur masqué par une couche IP.
usqu’à présent, ce sont les serveurs qui bénéficient le plus de cette technologie. Les temps de réponse de ces derniers ont été considérablement diminués. Certaines applications répondent désormais en dix minutes à une requête qui, auparavant, pouvait prendre plus de deux heures ! Les files d’attente ont donc disparu. De même, avec les hauts débits, il est possible de réaliser des sauvegardes centralisées, ce qui simplifie considérablement la sécurisation des machines. ” Cela nous procure une solution de secours en ligne qui était jusqu’alors réservée à des applications stratégiques (les salles de marchés, par exemple) “, remarque Gérard Sarrazin.
nfin, la banque envisage de porter sur la boucle hauts débits des échanges permanents de voix, données et images, entre les différents sites raccordés, comme cela existe déjà avec les départements d’outre-mer. L’opération lui permettrait d’éviter des déplacements inutiles lors de réunions et de mettre en place son groupware Lotus Notes.
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
