Aà l’occasion de la sortie française de Toy Story 2, le 2 février 2000, les spectateurs du Gaumont Aquaboulevard de la porte de Sèvres, à Paris, ont pu assister, pour la première fois en Europe, à la projection numérique d’un film de cinéma. Finie la pellicule et ses défauts inhérents (rayures, cassures…) : plusieurs disques durs, reliés par fibres optiques à un projecteur numérique fabriqué par Texas Instruments, le Digital Light Processing (DLP), garantissent une qualité d’image optimale et constante jusqu’au dernier jour d’exploitation. Le procédé n’est cependant pas nouveau : il a déjà été exploité avec succès par quelques salles américaines pour Star Wars : la menace fantôme et le Tarzan de Disney
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