La bêta ouverte du prochain jeu Open World d’Ubisoft, Tom Clancy’s Ghost Recon Wildlands, ouvre ses portes ce jeudi sur toutes les plateformes (PS4, Xbox One et PC). L’occasion rêvée de découvrir une partie de ce jeu que nous avons eu la chance d’arpenter lors de la phase de beta fermée. Retour en images commentées sur nos pérégrinations.
Au terme de cette première beta, dire que nous avons été assez surpris par Wildlands serait un euphémisme. Beaucoup de bonnes surprises se sont dévoilées après ces quelques heures de jeu.
La première, c’est la jouabilité, dans la droite ligne de certains récents titres d’Ubi (Watch Dogs 2 ou The Division) avec quelques mécanismes propres qui s’apprivoisent assez rapidement. Impossible de ne pas parler des graphismes (magnifiques sur PC avec une GTX 1080) qui sont dans l’ensemble très réussis, de la modélisation des personnages à la réalisation et à la mise en valeur de la topographie. Du côté de la météo, le cycle jour-nuit est extrêmement bien rendu, tout comme tous les effets lumineux inhérents au temps. Seul bémol : les textures de pluie, qui ne nous ont pas vraiment convaincus.
Transition toute trouvée pour aborder les quelques déceptions rencontrées pendant ces quelques heures. Mentionnons d’abord la conduite des véhicules, qui manque cruellement de feeling et de réalisme. Nous avons aussi été un peu déçus par les (rares) égarements de comportement de l’IA. Celle-ci a parfois provoqué des situations assez improbables : nos Ghost en infiltration et contrôlés par l’IA croisaient ou marchaient sur les pieds de trafiquants sans que ces derniers n’ouvrent le feu sur eux. Nous n’aborderons pas les quelques bugs de collisions rencontrés et les mettront sur le compte du statut non-définitif de la version testée.
Quoi qu’il en soit, espérons que ces quelques petites imperfections seront rapidement corrigées pour qu’à la sortie, le 7 mars prochain, nous puissions découvrir ce violent récit bolivien dans les meilleures conditions possibles.
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