Tivoli Business Systems Manager (TBSM) se veut le PGI des systèmes d’information. L’interface est presque ludique. Les éléments du réseau et leurs liens forment une image en trois dimensions, déformable à volonté par glisser-déplacer.Mais l’originalité de TBSM est de combiner des fonctions classiques de cartographie du réseau et de surveillance des équipements avec la mesure, en temps réel, de l’impact d’une défaillance en fonction du rôle que l’équipement joue dans une cha”ne applicative.
Pas de modèles prédéfinis
L’application prend en compte aussi bien les ordinateurs de poche que les grands systèmes ou les routeurs d’interconnexion, pourvu qu’ils soient équipés de l’agent logiciel Tivoli adéquat. TBSM permet de réaliser, par glisser-déplacer, des groupes logiques correspondant à un métier, à une application ou aux besoins d’un groupe de travail. Si TBSM fournit une base de connaissances qui aide l’administrateur à rechercher les indicateurs de mesure les mieux adaptés à l’équipement qu’il veut surveiller, il n’existe cependant pas de modèles prédéfinis en fonction d’un métier ou d’une activité.Chez Tivoli, on explique que TBSM nécessite une mise en ?”uvre personnalisée et une étude préalable. Sa base de données référentielle est, par exemple, construite sur mesure par les ingénieurs de Tivoli. Un projet de grande envergure, dont Tivoli fixe le ticket d’entrée au-delà du million de francs, et qui ne sera accessible aux PME que dans un second temps, au moyen de services de délégation d’administration.
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