A l’instar d’Hiro Nakamura, de la série ‘ Heroes ‘, le joueur a, dans cet univers, la maîtrise du temps. Ce qui est pratique pour passer les obstacles, et pas seulement en figeant les ennemis qui se
bousculent dans le champ de vision. En cas d’effondrement d’un mur bouchant définitivement un accès, par exemple, il suffit de ‘ rembobiner le temps ‘ pour passer avant qu’il ne s’écroule. Une trouvaille qui apporte un peu
de jubilation et qui permet de résoudre des énigmes de façon inattendue. Mais, du coup, tout devient plus simple, parfois trop. On avancera donc sans peine dans un dédale de décors très linéaires, plutôt graphiquement réussis, où il s’agit de
descendre tout ce que l’on croise en jonglant avec armes et munitions. Sans surprise, mais agréable et défoulant.
Décors
La ville du futur de TimeShift, à l’atmosphère cataclysmique, est en pleine guerre civile. Ses décors ont un petit air de Half-Life 2.
Manipulation temporelle
Une ligne à haute tension tombée dans une flaque d’eau créée par une canalisation explosée : figez le temps et passez ! Mais ne traînez pas, le pouvoir de la combinaison disparaît après quelques secondes
seulement.
Véhicules
A pied, en quad, en camion ou en train, la route de la liberté passe par la conduite tous azimuts.
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