L’utilisateur s’attend à avoir un compte unique, quelle que soit la plate-forme d’accès au service en ligne (PC, PDA ou téléphone mobile) et quel que soit le fournisseur”, affirme Serge Goldstein, directeur général de la filiale française de Qpass. Après 3 ans d’existence, la start-up américaine continue de gérer exclusivement les micropaiements compris entre 75 cents et 50 $. Ses clients ne sont autres que l’opérateur AT&T, le New York Times ou encore Le Monde interactif. De petites recettes ajoutées au téléchargement de contenus numériques qui peuvent faire bien des heureux, à condition toutefois de disposer d’un système simple à mettre en ?”uvre et à administrer. “Outre l’interfaçage avec les systèmes de Vignette et de BroadVision, nous proposons une location d’applications et une perception proportionnelle aux ventes en ligne.” Plusieurs modes de rétribution sont envisagés et panachés : l’abonnement, pour une courte période d’essai le cas échéant, le paiement à l’acte et le forfait. Qpass loue aussi le suivi des consommations en ligne : qui achète quoi, quand et combien ? “Les paiements traditionnels n’offrent pas de marketing ni de traçabilité et, pour de petits montants, les commissions de cartes bancaires sont bien trop élevées.”
Un projet audiovisuel est toujours déconcertant
La vidéo sur internet et le téléachat sont également les cibles, côté contenus cette fois, du loueur d’infrastructures et d’équipements Perfect Technologies. L’acteur français oriente volontiers les décideurs abordant l’audiovisuel pour la première fois avec le Net : “Le chef d’entreprise est souvent déconcerté par l’ampleur du projet multimédia”, note Paul Isnard, directeur du développement de cette SS3I (SSII de l’image), comme il la définit lui-même : “Internet exige une ingénierie globale et une expertise technique pour la captation, la diffusion et l’hébergement d’images vidéo.”
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