Piloter un ordinateur du bout des doigts est devenu possible grâce à Windows 7. Alors, pourquoi ne pas s’y essayer ? La majorité des configurations testées ici embarquent une dalle monopoint ou double point, vendu souvent à tort pour du multipoint ou “ multitouch ” car le procédé de mise en œuvre actuel n’admet que deux points de contact différents sur la dalle. De quoi zoomer sur une photo en plaçant vos deux index sur l’écran et en les écartant doucement, ou encore la faire pivoter en traçant un quart de cercle.
Le pouce et l’index en action
À l’usage, se servir de ses doigts pour contrôler le PC est divertissant et permet aux moins initiés d’apprivoiser le PC sans être effrayés par le clavier et la souris. Pour les enfants, c’est un régal, surtout que la vitre qui protège l’écran se nettoie très facilement et est résistante : même avec les doigts pleins de chocolat, ça passe ! Aux plus experts, le tactile pourra paraître gadget, voire une fonction franchement secondaire. Pour que la précision soit optimale, il faut calibrer au mieux la dalle via l’utilitaire Windows inclus, en prenant soin de se mettre précisément en situation. Un petit reproche d’ordre conceptuel concerne l’épaisseur du contour d’écran qui peut gêner la fermeture des fenêtres lorsque celles-ci sont en plein écran. Le problème est le même pour l’ensemble des machines testées, mais seuls Packard Bell et Acer ont trouvé la parade en changeant la morphologie de ces icônes dans leur suite logicielle maison. Pratique et astucieux !