Peu rapide en synchronisation de données…
Comparées à celles de l’iPAQ H3870, les performances du ZRIY0Y00 sont passables. Certes, le PDA concurrent de chez Compaq n’intègre pas de lecteur de codes à barres, mais on peut lui ajouter le SPS 3000 de Symbol (44 scans par seconde, contre 39 pour le ZRIY0Y00). De même, la vitesse de synchronisation avec le PC est insuffisante. Équipé d’un port infrarouge et d’un port série (RS-232), le ZRIY0Y00 peut s’enrichir d’une interface Ethernet. Mais la synchronisation d’un fichier (100 contacts, 100 rendez-vous, 100 blocs-notes et 100 tâches), effectuée au moyen du câble RS-232 et du logiciel ActivSync 3.5, dure trente secondes, contre seulement dix-neuf secondes avec le PDA de Compaq.
… ainsi qu’en transfert de fichiers
De même, le transfert d’un fichier de 965 Ko prend plus d’une minute, alors qu’il ne faut que sept secondes avec l’iPAQ H3870 via son port USB. Côté autonomie, les performances de ces PDA sont très semblables : en mode économique, la batterie au lithium-ion rechargeable du ZRIY0Y00 fonctionne pendant 18 heures et 21 minutes.Parmi les applications, on cite Pocket Word, Pocket Excel, Pocket Money, un explorateur de fichiers, une boîte de réception, un bloc-notes, un répertoire, un agenda, un annuaire téléphonique, etc. Comme tous les PDA exploitant l’OS de Microsoft, ce modèle reconnaît l’écriture cursive sans apprentissage, grâce au logiciel Transcriber. Pour écrire, il est possible d’utiliser une zone spécifique ou l’écran tout entier. À l’aide du stylet, les caractères sont tapés sur le clavier (Qwerty) affiché en bas de l’écran, qui suggère, à la volée, un terme plausible puisé dans le dictionnaire. Face à ce PDA peu évolutif, d’autres modèles PPT 2800, tel le PDA 2846 équipé d’une carte wi-fi (2 387 euros ht), ou encore le 2837, qui offre des fonctions de téléphonie (2 726 euros ht), semblent plus attirants.
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