Séléfrance prévoit un chiffre d’affaires supérieur à 140 MF en 1999 et emploie 300 personnes.
Les raisons de ce rachat sont tout d’abord d’ordre géographique, selon Jacques Tricot, PDG de la société nordiste. Séléfrance est en effet présent dans l’ouest de la France, une région que Sylis ne couvrait pas.
Deuxième motivation : la complémentarité de clientèle dans le secteur banque-assurance. Avec, pour Séléfrance, un fonds de commerce de sociétés mutualistes et, côté Sylis, plutôt des banques centralisées (25 % du CA).
Sylis, pour sa part, devrait réaliser 500 millions de francs de chiffre d’affaires en 1999.
La SSII compte poursuivre son développement vers le nord de l’Europe. Après le rachat dIBT en 1998, son dirigeant envisage en effet de finaliser deux nouvelles acquisitions – dont une avant la fin de l’année – en Belgique et aux Pays-Bas.
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