Plus qu’un jeu, vivez un rêve, une expérience unique. Après l’Amerzone, le dessinateur de bandes dessinées, Benoît Sokal, nous entraîne avec Syberia dans une nouvelle aventure empreinte de sérénité. Kate Walker, est une jeune avocate new-yorkaise, chargée par une multinationale spécialisée dans le jouet, de racheter une usine d’automates, située dans un petit village des Alpes françaises. Dès son arrivée sur place, Kate apprend qu’Anna Voralberg, la propriétaire de la fabrique vient de mourir. Et l’héritier de l’entreprise n’est autre que Hans, le frère d’Anna que l’on croyait mort, et qui est en fait bien vivant. Afin de conclure la transaction, l’avocate n’a d’autre choix que de se rendre en Sibérie pour le retrouver. Au cours de ce voyage, Kate va découvrir un monde étrange où les automates ont atteint un tel niveau de sophistication qu’ils sont capables d’agir de manière totalement autonome. Syberia n’est pas une aventure difficile. Quand Kate doit utiliser un objet pour actionner un dispositif, la pièce nécessaire est toujours à proximité. En interrogeant les personnages qui peuplent l’univers, on obtient spontanément tous les renseignements permettant de poursuivre le voyage. Le graphisme de l’Amerzone nous avait déjà subjugués par sa beauté. Sokal, une fois de plus, nous émerveille par son souci du détail et par le soin extrême apporté aux textures. Plus qu’un jeu, Syberia est une ?”uvre d’art.
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