Le conseil des prud’hommes de Nanterre s’est prononcé, début mai, en faveur d’un ex-employé d’IBM licencié pour faute grave. Laquelle ? Avoir utilisé l’ordinateur mis à sa disposition par son employeur pour visiter, pendant les heures de travail, des sites à caractère pornographique. Une victoire qui n’en est cependant pas vraiment une : IBM n’a été débouté que faute d’avoir pu apporter des preuves suffisantes.
Pour le moment donc, et en attendant un jugement contraire, les faits reprochés à l’employé peuvent toujours être invoqués comme motif de licenciement
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