Fin 2008, l’Icann, l’organisme international chargé de gérer les noms de domaine d’Internet, avait annoncé la libéralisation des extensions : aux classiques.com,.fr ou.org, on allait pouvoir ajouter.cocacola,.paris, et pourquoi pas.microhebdo, moyennant un coût d’évaluation des candidatures de 185 000 dollars… Les industriels critiquent la décision de l’Icann, considérant que ces nouvelles extensions les obligeront à redoubler d’attention pour défendre leurs marques. Fin février, c’est le Vatican qui faisait connaître sa désapprobation face à la création des extensions.catholic,.buddhist,.islam, voyant mal à qui l’Icann pourrait en attribuer la gestion. L’Icann a donc revu sa copie, et les nouvelles extensions ne verront pas le jour avant fin 2009 ou début 2010. Ou jamais
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