Ces deux appareils sont donc des compacts 12 mégapixels, produisant des images de 4000×3000 pixels: de quoi faire de confortables recadrages ou des tirages A3 sans souci. Côté optique, on a droit à un grand-angle de 29 mm. Panasonic et d’autres marques savent faire des 25 voire des 22 mm, mais c’est plus cher. On ne va pas se plaindre puisque qu’en plus, il est stabilisé optiquement avec la technologie maison, le Mega O.I.S. Equivalent à un 29-145 mm (en éq. 24-36 mm), leur objectif commun est donc capable de passer de la prise de vue panoramique à un zoom x5 confortable pour prendre les détails.
Point de mode manuel et de finesse de gourmets, les FS-15 et FS-25 sont des appareils grand public: mode Auto et modes scènes de rigueur, avec le désormais très célèbre mode AI, très performant. Un genre de super mode auto qui détecte automatiquement le type de mode scène à appliquer.
Avec un prix contenu, Panasonic a été obligé de rogner sur la vidéo HD. Point de 720p, d’AVCHD et autres attributs de la haute-définition, on en reste à la SD. Tout juste affiche-t-il un mode 848×480 pixels, supérieur au VGA (640×480), avec prise de vue en 16/9e. Un ratio disponible en photo, qui s’ajoute au classique 4/3 de la grande majorité des compacts et au 3/2, normalement uniquement disponible sur les appareils à visée reflex.
Quant on parle de prix contenu, on parle de 249 euros pour le FS-25 et son écran de 7,6 cm de diagonale et 229 euros pour le FS-15 et son «petit» 6,8 cm. Si la qualité des clichés suit, ce pourrait être un bon appareil «classe moyenne» du printemps. Les plus impatients peuvent d’ores et déjà le trouver en magasin, les autres attendrons un très prochain test…
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