Quelles sont les nouveautés de cette édition ?Il y a deux changements principaux. D’abord, l’événement s’ouvre à des sociétés européennes (Allemagne, Benelux…). 60 % des sociétés invitées viennent de l’étranger. En outre, les grands comptes seront beaucoup plus présents cette année et représenteront 30 % des invités.Vous vous éloignez des start-up ?Pas du tout, elles sont toujours majoritaires. Les prestataires ne se désintéressent pas des start-up, ils sont juste plus prudents. Nous ne faisons que sélectionner un peu plus finement les start-up. Nous nous basons notamment sur la solidité de leurs bilans financiers. Et finalement, les sociétés technologiques sont les plus représentées, au détriment des marchands.Vous devenez un véritable salon ?Ça s’en rapproche, les données sont les mêmes. Au lieu d’exposants, nous avons des prestataires auxquels nous ne vendons pas du mètre carré mais des conférences. Et les visiteurs sont des start-up et des grands groupes que nous invitons à nos frais. Tout ça, à guichet fermé.Signe-t-on des contrats au cours du Start-up Forum ?C’est un endroit où l’on fait du business, qui n’a à l’heure actuelle pas d’équivalent. Et malgré le contexte, le principe reste le même. Des sociétés comme Publicis, ou eBrands ?” depuis racheté par Vivendi ?”, ont décroché des contrats au Start-up Forum. @Carrefour a trouvé ici des partenaires pour son marketing en ligne. Et il y en a eu dautres !
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.