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StarCraft II, neuf raisons de baver

Le nouveau STR de référence atterrira le 27 juillet prochain, après douze ans d’attente. Nous avons eu l’occasion d’assister à une présentation, orchestrée par Franck Pearce lui-même.

Alors que la France attend en vain le soleil d’été, Blizzard nous a conviés à la présentation officielle de StarCraft II : Wings of Liberty. C’est Franck Pearce himself (l’un des cofondateurs de Blizzard) qui s’est déplacé pour nous présenter son bébé. L’occasion pour lui de revenir sur énormément d’éléments déjà connus du jeu, mais aussi et surtout de nous faire « découvrir » les premières missions de la campagne solo ainsi que l’ensemble des nouveaux mécanismes de gameplay.

« Until it’s done »

Si vous ne le savez pas déjà StarCraft II : Wing of Liberty (SC2 pour les intimes) se concentre uniquement sur l’univers Terran, une des trois races du jeu avec les Zergs et les Protoss.

Marine
Marine – Marine

Les deux autres factions feront l’objet de « disques additionnels », avec campagnes différentes et a priori tout un tas de nouveautés multi. Et justement, quand on demande à Franck Pearce jusqu’à quand il nous faudra attendre pour les voir sortir, la réponse est sans appel : « until it’s done ». Qu’on pourrait traduire par « lorsqu’ils seront parfaits ». Car, Blizzard n’a pas pour habitude de sortir des jeux non aboutis et plutôt que de se précipiter, l’éditeur/développeur préfère reculer la date de sortie si les développeurs ne sont pas satisfaits de leur travail.

L’histoire commence

Après 12 ans d’attente, le 27 juillet prochain, date officielle du lancement du premier épisode de ce qui sera de fait une trilogie, les joueurs auront droit à la première partie de l’histoire. Ils pourront également mettre la main sur le mode multijoueur qui intègre d’ores et déjà toutes les races, comme les quelques milliers de veinards qui ont accès la bêta ont pu le constater.

Deux-en-un

Et si l’on voulait être pointilleux, SC2 n’est pas un mais deux jeux : la partie solo et la partie multijoueur sont réellement différentes tant par leur environnement que par leur fonctionnement. Dernière petite précision, l’obligation d’être connecté à Internet pour jouer en solo ne semble pas au programme, une bonne nouvelle quand on voit que c’est une condition sine qua non chez beaucoup d’éditeurs actuellement ! Mais passons aux choses sérieuses et commençons par le plaisir solitaire.

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Aymeric Siméon