Lors de la conférence Black Hat 2011, un chercheur de l’université Carnegie Mellon a démontré qu’à l’aide d’un logiciel de reconnaissance faciale, on pouvait déjà identifier un visage inconnu avec un taux de réussite de 30 %. Et dans la foulée, obtenir des informations très personnelles comme son orientation sexuelle ou une partie des chiffres de son numéro de sécurité sociale. Il suffit de puiser automatiquement dans les nombreuses bases de données d’informations personnelles disponibles sur le Web, tels les réseaux sociaux.
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