Blizzard. Blizzard. Vous avez dit Blizzard ? En entendant ce nom, les joueurs et ceux qui les fréquentent de temps à autre visualisent immédiatement des montagnes d’or, au propre et au figuré, gardées par des dragons, au propre et au figuré. Depuis la fusion avec Activision, le numéro 1 des jeux vidéo accumule des fortunes grâce à la manne World of Warcraft, ventes et abonnements, et à d’autres titres, comme Call of Duty, pour lesquels Blizzard n’a rien à voir.
Quoi qu’il en soit, si Blizzard rime avec dollar, c’est aussi et surtout avec qualité et exigence qu’on l’associe. Car, jamais ou rarement, un éditeur ne s’est imposé un tel niveau d’excellence. A tel point que le slogan officieux de ce studio est devenu « when it’s done » : comprenez « quand ce sera fait », ou mieux « quand cela répondra à nos propres attentes ».
Chez Blizzard, on ne sort les jeux que quand ils sont prêts ou lorsqu’on estime qu’ils le sont, et ce n’est pas à prendre à la légère. Les joueurs savent alors qu’ils auront entre les mains un travail d’orfèvre numérique…
Mais avant qu’arrive WoW, avant que StarCraft II règne sur les tournois d’e-sports, que Diablo III soit un des jeux les plus précommandés de l’histoire, que la légende soit légendaire, il en a fallu du temps, du talent et des jeux…
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