Au premier coup d’œil, difficile de distinguer la Roam première du nom d’avec sa successeure. Les deux enceintes partagent un design très similaire, mais en se rapprochant un peu on peut constater que le logo s’intègre davantage avec la grille. Le gros changement en réalité, c’est la présence d’un bouton d’allumage/veille et d’un bouton d’appairage Bluetooth : ces deux fonctions avaient été fondues dans un seul bouton sur la Roam 1ère génération.
Comme la Roam 1, mais en mieux
Une drôle d’idée qui ne facilite pas le fonctionnement de l’enceinte, elle nécessite en effet une certaine gymnastique pour éviter de se tromper dans les manipulations. Avec deux boutons, au moins, les choses sont claires. Sonos a également revu la configuration initiale, en la simplifiant. La première Roam nécessite une connexion Wi-Fi et la création d’un compte dans l’app Sonos (oui celle-ci) avant de pouvoir diffuser de la musique.
La Roam 2 permet la connexion en Bluetooth avec un smartphone ou tout autre appareil, dès la sortie de sa boîte. Pour obtenir davantage de fonctions, il faudra la jumeler avec l’app Sonos et un réseau Wi-Fi. Voilà un changement vraiment bénéfique pour l’utilisateur !
Pour le reste, la Roam 2 reprend le système audio du modèle précédent ainsi que sa batterie (bonne pour 10 heures d’autonomie en théorie) et le support TruPlay pour ajuster le son à l’acoustique de la pièce. L’appareil est certifié IP67 pour la résistance à l’eau et à la poussière. Et bien sûr, l’enceinte s’intègre harmonieusement dans un écosystème Sonos. Le tout est proposé à 199 €.
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Source : Sonos
il existe une différence de sens entre «maligne» et «maline». Le premier désignerait quelqu’un qui veut faire du mal à autrui tandis que le second évoquerait une personne rusée, roublarde, ingénieuse.