L’offre des opérateurs est devenue tellement foisonnante que les entreprises ne s’y retrouvent plus. Elles hésitent à céder à l’argument tarifaire de peur de perdre sur la qualité de service.Smart Telecom veut les aider à y voir plus clair. En totale indépendance par rapport aux fournisseurs de services, il passe au crible les consommations courantes (téléphonie, Internet et mobiles). A partir des factures détaillées existantes (électroniques ou papier), et au moyen d’un logiciel maison utilisant la base de données Access de Microsoft, il simule la facturation des opérateurs alternatifs, et cela pour chaque type de service (appels locaux, nationaux, internationaux, vers les mobiles, lignes louées, transfert de données, télécopies, gestion de flottes de mobiles ou de terminaux). Smart Telecom procède également à un audit des moyens de télécommunications utilisés, et in fine recommande selon le cas un ou plusieurs opérateurs alternatifs.Pour optimiser le coût des appels vers les mobiles d’un professionnel, il préconisera un opérateur comme Interoute, ou mieux encore l’installation sur son PABX d’une passerelle le raccordant directement à un opérateur mobile. Les grandes entreprises, explique Alain Duvard, auront même intérêt à installer une passerelle pour chacun des 3 opérateurs du marché français.En revanche, la PME effectuant surtout des appels nationaux gagne à rester chez France Télécom, à condition de tirer un meilleur parti des options tarifaires disponibles. Le changement d’opérateur, en fait, ne s’impose véritablement que pour l’international. Smart Telecom, qui entend privilégier un rapport qualité/prix satisfaisant et stable, préconisera alors 9 Télécom, Cegetel ou AXS Télécom, à moins que certaines options de France Télécom ne soient encore plus favorables.Colt, enfin, est mis en avant lorsque la téléphonie longue distance et l’accès Internet peuvent être intégrés dans un raccordement unique à une boucle optique urbaine de l’opérateur. La présélection, en revanche, doit être maniée avec précaution. Elle n’est recommandée, estime Alain Duvard, que si elle peut être programmée dans le PABX, avec possibilité de modification à distance en fonction de l’évolution des consommations.Smart Telecom limite donc son panel à une vingtaine d’opérateurs ” sérieux “. Sa base de données tarifaires est mise à jour tous les trois mois, en tenant compte des crédits temps. Au besoin, elle est complétée par des données trouvées sur des sites comme (www.budgetelecom.com) ou (www.comparatel.fr).Habituellement, les prestations d’audit et de courtier en télécommunications sont payées au forfait, au temps passé ou à la commission. Smart Telecom, lui, se rémunère sur les économies réalisées. Sur l’année, les économies qu’il préconise peuvent aller jusqu’à 40 %, dont il réclamera une part de 35 à 50 %.Ce mode de rémunération ne s’applique évidemment pas aux projets Internet : rédaction du cahier des charges et recherche de partenaires (agences Web, e-mail, fournisseur d’accès, hébergeur…). Alain Muleris, directeur commercial de Smart Telecom, a été pendant 12 ans directeur commercial et directeur général adjoint de BVRP Software. Alain Duvard en avait été le directeur technique (www.smart-telecom.fr) (www.budgetelecom.com) (www.comparatel.fr).
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