Il en dit des choses, François Simon, sur son blog, parfois acides ou amères, tantôt sucrées, c’est selon. En tout cas, ces propos ne tombent jamais dans le fade ou dans l’édulcoré. Car ce critique gastronomique sait avoir la dent dure pour dénoncer un feuilleté réchauffé au micro-ondes. Ou partir dans des envolées lyriques pour nous faire sentir la prestance d’une salade ou nous plonger dans les parfums capiteux d’un poisson aux épices.On l’aura compris, il a un vocabulaire bien à lui, il ne faut donc pas s’étonner de le voir parler de “ cuisine moustachus ” de “ pâtes maison de toute bonté ”, d’un “ poulet qui ne se la ramène pas ”. Parfois, il écrit ses chroniques. Parfois il les filme avec la caméra placée au ras de la table. Les assiettes sont au premier plan. En surimpression s’affichent le temps d’attente d’un plat, la température du lieu, le bruit ambiant. Les mains font des allers-retours, mais discrétion oblige, jamais on ne voit son visagehttp://francoissimon.typepad.fr
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