La célèbre simulation urbaine fait sa révolution. Ce qui ne plaira pas à tous. La gestion pseudo-réaliste, où les zones commerce, résidence et industrie évoluaient en fonction de l’environnement, est troquée contre un système de
construction à ‘ valeur sociétale ‘. En clair, vous choisissez vos bâtiments en fonction des bonus sociaux qu’ils apportent (prospérité, productivité, créativité, spiritualité, autorité et savoir) pour donner un style à
votre ville : romantique, contemplative, cyberpunk, dédiée à l’amusement, etc. Mais chaque choix génère des citoyens indésirables (activistes, hippies…) à remettre dans le rang. Au final, ce nouvel opus est amusant, mais devient plus
facile et moins axé sur la gestion pure et dure. Donc plus accessible aux novices.
Alerte !
Le principe de la catastrophe est gardé. Lorsqu’un incendie, un séisme, un ouragan ou une pluie de météorites (!) vous tombe dessus, déclenchez le plan Orsec. Et inquiétez-vous par un clic de savoir comment vont vos
administrés.
A la ‘ schlague ‘
Maire ou… Maître en manipulation ? Pour une ville autoritaire, construisez un ministère de la Pensée ou de la Propagande sans oublier des centres de détention et ce qu’il faut de postes de police. Quelques clôtures en fer
rapportent aussi des points.
Sim-bobo
Maisons de musiciens, lofts, sculptures, peintures murales, le tout alimenté par l’énergie éolienne. Créez une ville à la hauteur du talent artistique de vos Sims.
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