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Silence, rapidité et évolutivité au service de vos impressions laser

Epson lance l’AcuLaser C3800N, une imprimante laser couleur Ethernet pour les TPE/PME.

Petite dernière des
imprimantes laser couleur d’Epson, l’AcuLaser C3800N semble à la lecture de sa
fiche technique promise à un bel avenir. D’autant plus qu’elle corrige les
détails qui faisaient taches dans les précédentes générations d’AcuLaser.

Premier
point, elle semble rapide aussi bien en impression couleur que monochrome. A
noter que la différence de vitesse d’impression entre couleur et noir se réduit
considérablement. Une bonne chose. De plus, ce gain de vitesse par rapport aux générations
précédentes ne semble pas avoir été obtenu en sacrifiant la qualité. Au rayon
de la rapidité toujours, Epson indique un temps de préchauffage très réduit,
sans en préciser la durée toutefois, ce qui devrait être appréciable quand
l’imprimante sort d’une période hibernation, qui visait à économiser de l’électricité.

Deuxième point marquant, la
C3800N propose une belle autonomie avec des toners standards (197 euros pièce)
permettant de tirer environ 5000 pages. Les versions haute capacité (299 euros
pièce) sont données pour 9500 pages. Le toner noir n’existant qu’en un modèle
assure, selon Epson, 9500 pages.

Troisième point, le silence.
Si certains modèles AcuLaser étaient jugés un peu bruyants, celui-ci semble
avoir été conçu pour ne pas déranger nos tympans. En fonctionnement, la C3800N
est censée ne produire que 51 dB, ce qui, par ailleurs, tend à devenir la norme
des imprimantes laser de cette gamme de prix.

Mais, derrière ces
caractéristiques se cache également un autre atout, la modularité. Ainsi, il
est possible d’ajouter des éléments à cette imprimante pour l’adapter à ses
besoins. Par exemple pour 155 euros de plus, il est possible d’ajouter le bac permettant
l’impression recto verso. Même s’il est vrai que cette fonction aurait été
bienvenue en série. Pour 478 euros de plus, il est possible d’adjoindre à la
version standard, le bac recto verso et un autre bac de 550 feuilles. Une bonne
façon de faire monter en puissance ce périphérique. Une notion d’évolutivité
renforcée par la possibilité d’ajouter de la mémoire vive afin d’accélérer le
traitement des fichiers un peu lourd. Il est ainsi possible de passer de 128 Mo
en standard à 256 Mo, 512 Mo et même 1 Go.

Enfin, pour clore ce petit
tour d’horizon, citons les fonctions classiques : la connexion réseau par
Ethernet, la présence d’un port USB 2.0 à l’arrière, pour le branchement à un
ordinateur, et d’un autre à l’avant pour imprimer des documents directement
depuis une clé USB, sans passer par un ordinateur.

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Pierre FONTAINE