Entre le smartphone personnel que l’on utilise au travail et le téléphone de l’entreprise qui sert à prendre des photos du petit dernier, le mélange des genres est fréquent. Mais à quoi ressemble vraiment l’usage des mobiles en entreprises ? Réponses en chiffres.
Accros aux appareils personnels
50% des utilisateurs de smartphones, tablettes et ordinateurs portables font usage de leurs terminaux personnels dans la sphère professionnelle. (source : Kaspersky Lab, 2015)
72% des utilisateurs de smartphones se déclarent accros à leur mobile. (source : Baromètre des Usages mobiles 2017)
Du côté des applications
En moyenne, 39 applications sont installées sur les smartphones des Français, mais ils n’en utilisent vraiment que 18 en moyenne par mois. (source : Baromètre des Usages mobiles 2017)
75% des utilisateurs exploitent moins de 5 applications professionnelles. (source : Baromètre des Usages mobiles 2017)
Les premiers critères de choix d’une application mobile sont la note attribuée par les utilisateurs sur les stores (50,7 %) et les commentaires déposés sur les mêmes stores (50,2%). (source : Baromètre des Usages mobiles 2017)
Si la lenteur d’une application constitue le premier facteur de désinstallation (72 %) d’une appli dans le cadre privé, ce critère devient moins prépondérant dans la sphère professionnelle (36,9 %). (source : Baromètre des Usages mobiles 2017)
Pro ou perso, on s’y perd !
20% des utilisateurs regardent leur mobile moins de 5 min après leur réveil
37% commencent par consulter leurs e-mails et leurs SMS
39% passent des appels professionnels avec leur téléphone personnel
42% envoient des e-mails professionnels avec leur téléphone personnel
(source : Enquête Deloitte Global Mobile Consumer Survey 2016)
L’impact sur la sécurité
L’usage du mobile perso dans les environnements devrait continuer de se développer, ce qui n’est pas sans conséquence sur la politique de sécurité des entreprises. L’enjeu, pour elles, est de trouver le juste milieu entre le confort des collaborateurs et la sécurisation des données. Si les professions libérales doivent surtout s’en remettre à des reflexes à adopter de façon individuelle, les entreprises de plus grande taille devront se résoudre à passer par des solutions de gestion de flotte, davantage taillées pour leurs besoins.
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