Il est capable de restituer des couleurs sur 42 bits et atteint une résolution optique de 600 x 1 200 points par pouces (ppp). Pour l’installer, il suffit de le relier à la prise USB du micro (PC ou Mac), une opération qui ne pose aucun problème. Une fois les pilotes et quelques petits logiciels installés, le scanner fonctionne sans manipulation supplémentaire. Il suffit de placer le document à scanner sous son capot et d’utiliser l’une des trois touches de numérisation directe situées sur l’avant. On peut ainsi, au choix, numériser le document dans un programme préalablement sélectionné, intégrer directement l’image dans un e-mail ou se servir du scanner comme d’une photocopieuse (il faut alors, bien évidemment, disposer d’une imprimante).
Si l’on est moins pressé, il est possible d’obtenir de meilleures images en réglant les paramètres de numérisation à l’aide du pilote (appelé ScanWizard 5). Ce logiciel, très bien fait, s’adapte aussi bien aux débutants qu’aux utilisateurs expérimentés en proposant deux modes de fonctionnement.
La restitution des images numérisées est de bonne qualité et les couleurs bien rendues. Seule une légère trame subsiste. Le ScanMaker 3700 est aussi livré avec plusieurs programmes : PhotoDeluxe pour la retouche des photos, une version limitée du logiciel d’OCR OmniPage et PhotoImpact.
Au chapitre des doléances, on retiendra surtout le bruit imposant pendant la phase de numérisation et un aspect massif pas très réussi malgré le design assez soigné.
L’avis de la rédaction
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