- Sauvegardez toutes vos données au cas où…
- Mettez vos fichiers à l’abri avec Cobian Backup
- Synchronisez vos données avec SyncBack
- Conservez vos fichiers en ligne
Photos et vidéos de famille, courriers, documents privés ou professionnels, nous possédons de plus en plus de contenus numériques, pour la plupart précieux. Pourtant, la sauvegarde de données, on y pense peu, ou, alors, quand il est déjà trop tard, après un crash du disque dur. D’après une étude de l’éditeur de logiciels Symantec, menée en 2009 auprès de 3 000 Européens (Français, Allemands et Britanniques), près de la moitié (44 %) déclare avoir déjà perdu des fichiers importants (photos, documents professionnels…). Des dégâts souvent irréparables, mais facilement évitables.Contrairement à ce que beaucoup pensent, la sauvegarde, c’est simple et pas très cher. Il suffit d’un support de stockage amovible adapté à vos besoins, un disque dur ou un DVD vierge (voir encadré ci-contre), et d’un logiciel de sauvegarde. Il en existe de très bons à télécharger gratuite ment comme Cobian Backup que nous vous présentons dans ce dossier. Le reste n’est qu’une question de méthode et de discipline.
Multipliez les copies
Si vous avez beaucoup de données à sauvegarder (photos, vidéos, documents de travail…), la première étape sera un peu longue. Mais les fois suivantes, en utilisant les modes incrémentiels ou différentiels, ce ne sera l’affaire que de quelques minutes. Vous n’aurez même pas à vous en soucier pour peu que vous ayez correctement programmé votre logiciel. Précaution à prendre en matière de sauvegarde : ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ; multiplier les copies réduit d’autant les risques de perte. Dans l’idéal, il est prudent d’en stocker dans des lieux physiquement différents pour éviter, par exemple, les risques liés à un cambriolage.Avec la démocratisation du haut débit, la sauvegarde sur Internet devient également envisageable. Hébergées sur un serveur, vos données sont protégées des sinistres et elles sont, de plus, accessibles de partout, même depuis un téléphone mobile. Sauf que, si l’idée est séduisante, la réalité l’est un peu moins. Même avec les meilleures connexions ADSL ou câble, la voie montante (upload) est limitée. Pas plus de 1 Mbit/s pour les fournisseurs d’accès à Internet les plus généreux. Si on utilisait cette bande passante à 100 %, cela signifierait de 2 à 3 heures par gigaoctet envoyé mais, en pratique, vous pouvez multiplier ce temps par cinq, au moins.Même si la majorité des services de sauvegarde en ligne gèrent la sauvegarde incrémentielle, cela reste dissuasif pour qui a de gros volumes de données. C’est-à-dire à peu près tout le monde à l’heure de la photo et de la vidéo numérique HD.
En attendant la fibre optique
Pour que cette solution gagne vraiment en souplesse, il faudra attendre le déploiement de la fibre optique, qui promet des débits ascendants de 5 à 50 Mbit/s (soit plus de 6 Mo/s) selon les opérateurs. Autre bémol concernant la sauvegarde en ligne : la pérennité des services. Sur un marché concurrentiel et en pleine évolution, la société à qui vous allez confier vos données peut péricliter du jour au lendemain. Si vous souhaitez tester la sauvegarde en ligne, il est important de ne pas oublier que cela ne dispense pas d’utiliser les méthodes de sauvegarde traditionnelles. Ce n’est qu’une solution complémentaire
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