Petites mises à jour physiques
Extérieurement, elle conserve la forme en V, qui fait qu’elle s’adapte quelle que soit la main utilisée. Elle adopte le dernier revêtement Soft-Touch, de Roccat, qui assure une très bonne tenue sous les doigts et au creux de la paume. Sur les côtés, un nouveau grip fait son apparition, pour un meilleur contrôle.
Pour cette mise à jour, Roccat n’entre pas dans la course aux ppi, il maintient son capteur à 3 200 ppi, ce qui est amplement suffisant. En revanche, c’est la vitesse maximale de déplacement qui est améliorée. Elle est multipliée par un peu plus de trois. Un bond qui devrait assurer un meilleur confort et une plus grande précision dans différentes utilisations, du FPS, au MMORPG en passant par un tableau Excel.
Il y a un pilote dans la souris
Alors que la première version fonctionnait sans pilote, la Kova[+] bénéficie désormais d’un compagnon logiciel qui devrait permettre, comme sur la Kone[+], de gérer les différents profils d’utilisation – cinq en tout -, selon qu’on travaille ou qu’on joue. Pour le travail, la fonction EasyWheel fait son apparition, elle sert notamment à gérer Aero dans Windows, mais peut être configurée pour lancer un programme, par exemple.
Pour les joueurs, une vingtaine de profils sont préétablis, correspondants aux jeux PC les plus populaires. Il est bien sûr possible de configurer ses propres réglages et de créer de petites macros, ce qui est une nouveauté de ce modèle.
Le pilote permet également l’augmentation du nombre de fonctions disponibles, seize au lieu de sept.
Enfin, on retrouve la fonction de synthèse vocale, qui indique clairement, quand vous changez un réglage, celui que vous venez de choisir. Très pratique pour éviter de se fourvoyer en plein jeu. La Kova[+] sera disponible d’ici à la fin du mois de janvier pour un peu moins de 50 euros.
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