Le Robotaxi de Tesla est tellement un mystère, y compris après sa présentation. Derrière le manque d’informations sur le fonctionnement du système de conduite autonome, qui doit uniquement se reposer sur des caméras et non des LiDAR, beaucoup d’autres zones d’ombre existent pour un modèle qui doit pourtant arriver dans moins de deux ans, et qui a connu un show spectaculaire en direct des studios de Warner Bros à Hollywood, le 10 octobre dernier.
Pour illustrer les difficultés de cerner la future voiture autonome de Tesla, il n’y a qu’à parler de son nom. Jusqu’à la montée sur scène d’Elon Musk, le patron du constructeur, le 10 octobre dernier, il était plutôt clair que le modèle s’appellerait Robotaxi. Mais le milliardaire, en sortant du véhicule, mentionnait pourtant le nom de Cybercab. Un nom en référence au Cybertruck, le gros pickup de Tesla, avec lequel le nouveau modèle autonome reprend d’ailleurs des caractéristiques du côté du design.
Robotaxi, Cybercab… lequel retiendra-t-on ?
Ces dernières heures, Tesla a finalement déposé les noms de Cybercab et Robotaxi, en ne laissant aucun indice sur sa préférence. Dans l’ordre, le constructeur a d’abord déposé la marque Robotaxi la semaine dernière, avant de se pencher cette semaine sur l’enregistrement de Cybercab. Pourquoi choisir de prendre les deux ? Tesla est-il dans un dilemme sur l’appellation de sa gamme ?
En reprenant le nom de Cybercab, la marque viendrait harmoniser une partie de sa gamme, comme elle l’a fait avec les Model S, Model Y, Model X et Model 3. Le Cybercab rejoindrait le Cybertruck, mais aussi le futur « Cyberbus », son second modèle autonome qu’Elon Musk a rapidement présenté le 10 octobre dernier, avec une capacité à bord pouvant aller jusqu’à 20 personnes.
En revanche, Tesla a toujours parlé de Robotaxi pour son premier modèle autonome. Avec ce nom, Tesla met davantage en avant l’aspect autonome du modèle et sa disponibilité à tous, à la demande (même si Cybercab reprend aussi cette idée). En anglais, il n’existe pas de différence de sens entre un « cab » et un « taxi », même si dans les pays non anglophones, on aurait plutôt tendance à parler de taxi.
Si Tesla choisissait Robotaxi, alors le « Cyberbus » pourrait plutôt s’appeler « Robobus », un nom déposé par Tesla au moment de l’enregistrement du Robotaxi. Il laisserait de côté le terme de « van », qui, malgré sa référence à un plus grand véhicule capable de transporter plusieurs individus, rappelle aussi les vans aménagés. Ces derniers n’ont d’intérêt que de faire de la place pour un lieu de vie et un couchage, plus que d’un bus disposant de l’espace nécessaire pour transporter toute une équipe de foot.
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Source : Electrek
Plutôt que ces folies techno nous déresponsabilisant sur les routes, LA SAGESSE inspirée d’en haut nous demande d’exiger de développer rapidement des rétrofits sur toutes thermiques non 4×4, en disposant des moteurs freins 50 km/h 100 kms pour trajets urbains aux roues non motrices afin de récupérer de l’énergie en ralentissement freinage, pour recharger une batterie minimaliste mise dans le coffre et sous les sièges AR.
Là plus besoin de bornes en ville !!!
Enfin un peu moins de planète poubelle, irrespirable et brûlante