JPG, société de vente par correspondance de mobilier de bureau, a adopté, dans une double optique, la solution ShowCase Strategy de l’éditeur américain éponyme. Il s’agissait d’une part, d’assurer l’analyse des ventes effectuées parmi un catalogue de 10 000 produits et, d’autre part, de prendre en charge la restitution de ces informations à travers un environnement graphique destiné aux utilisateurs du département marketing. “La solution de restitution utilisée auparavant était fondée sur un requêteur développé en interne pour l’environnement OS/400. Le plan de travail monochrome de l’OS/400, bien que robuste, n’était pas suffisamment performant pour diffuser l’information vers un grand nombre d’utilisateurs. De plus, le travail de constitution des rapports monopolisait trois informaticiens à temps plein”, relate Jean-Noël Guillaume, DSI chez JPG. ShowCase Strategy a été retenu car il était l’un des rares à proposer une solution décisionnelle pour OS/400, fondée sur la plate-forme Essbase d’Hyperion.
Les produits commerciaux ne font pas recette
ShowCase Strategy abrite le module de restitution Analyzer, qui assure une navigation graphique dans les cubes d’analyse multidimensionnels. “Ce module s’adresse aux spécialistes du marketing pour manipuler directement les dimensions des cubes comme les ventes ou les régions”, relève Jean-Noël Guillaume. Cependant, la diffusion de rapports d’activité doit aussi se faire auprès de la direction générale et du service commercial ou financier. Or JPG n’a pas adopté le portail de restitution ShowCase Xpedio pour répondre aux besoins de ces utilisateurs. “Automatiser la fabrication de rapports bruts pour ensuite les diffuser ne nous apportait rien. Nous préférons les fabriquer à la main, les enrichir de commentaires et les publier sur notre intranet maison”, explique Jean-Noël Guillaume. Ainsi, les produits commerciaux de diffusion de rapports n’ont pas reçu la faveur de JPG, car, pour une centaine d’utilisateurs, un intranet suffit. Les entreprises ont une approche différente si cette distribution s’effectue auprès de milliers d’utilisateurs, entraînant des problèmes de répartition de charge.L’intranet se fonde sur le serveur http, intégré à l’environnement de travail de groupe Lotus Domino. Cette démarche intéressante alourdit cependant les traitements manuels liés aux publications de rapports. Mais pour la PME, c’est négligeable.
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