Fidèle lecteur, je tenais à vous faire part de ma mésaventure chez SFR. Le 20 mars dernier, je rapporte au point de vente de cet opérateur mon BlackBerry 8820 (avec extension de garantie) pour un problème de trackball. Si j’ai pris soin de vider l’appareil de ses données et de retirer la carte mémoire, j’ai dû me résoudre à laisser la batterie, obligatoire, selon le vendeur, pour tester l’appareil. Je devais être prévenu du retour de mon téléphone dans les quinze jours suivants. Sans nouvelles, je passe au point de vente trois semaines plus tard pour apprendre que mon BlackBerry réparé a été retourné par le SAV depuis une bonne semaine… mais sans sa batterie ! Après plusieurs passages infructueux en boutique, la vendeuse s’occupant du dossier m’a rappelé pour m’expliquer que le SAV ne répondait pas à ses e-mails de réclamation et soutenait avoir reçu l’appareil sans batterie. Ce qui, et elle en convient, est contraire à l’usage et démontré par le bon de prise en charge mentionnant sa présence. Depuis, je reste sans nouvelles. Non seulement, j’ai été privé une semaine de plus que nécessaire d’un appareil vital dans ma profession mais si un ami ne m’avait prêté une batterie de secours, je ne pourrais toujours pas l’utiliser. Faire un geste commercial en remplaçant une batterie égarée pour faire avancer le dossier aurait-il mis SFR au bord du dépôt de bilan en ces temps de crise ?
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