Les 72 Go de notre serveur de fichiers n’y suffisent plus. Me voilà donc à la recherche d’une solution de stockage. Après analyse des matériels ?” NAS, SAN, serveurs classiques, baies de disques, etc. ?”, et compte tenu du volume des données, les solutions NAS d’IBM, Dell et Maxtor me semblent les plus appropriées.Vu l’enjeu et le prix de ce type de matériel, j’ai commencé par m’informer sur l’éventualité d’un prêt afin de tester ces machines. Mais là, les choses se compliquent. IBM et Dell ne prêtent aucun matériel et mettent six mois à livrer ces NAS choisis sur catalogue. Un peu comme La Redoute, les cadeaux de bienvenue en moins !En revanche, Maxtor est d’accord. Malheureusement, le modèle que nous recevons ne correspond pas à notre choix : il est équipé de disques non extractibles à chaud, il nécessite un retour atelier en cas de panne et son OS n’est pas accessible en totalité ?” un problème en cas de plantage.Retour à la case départ donc. Tant mieux d’ailleurs, car Maxtor a récemment décidé d’arrêter le NAS… Après réflexion, nous avons opté pour un serveur Linux classique, relié par un lien Gigabit fibre optique à une baie de disques d’une capacité de plus de 1 To ?” ce qui permet de conserver notre système de sauvegarde sur bande.Les coûts de licences sont nuls, l’évolution gratuite est garantie et son administration est simple. Quant à la formation nécessaire, elle aurait été aussi coûteuse, mais moins universelle. Pour la gestion des accès disques ou la déclaration du Raid, on trouve autant de standards que de modèles de NAS ! De toute façon, une formation Linux était déjà programmée à la demande des techniciens…* MM. Red, Green, Yellow et Purple sont cadres dans des services informatiques. Chaque mercredi, à tour de rôle, ils vous font partager le fruit de leurs expériences. Cette semaine, Mister Purple…Prochaine chronique mercredi 2 octobre 2002
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
