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Jean-Marc Kerilis, DSI du conseil régional d’Ile-de-France :
“Si la hiérarchie n’est pas motrice, le télétravail ne décolle pas. Un questionnaire a été envoyé il y a trois ans aux agents du conseil régional. Depuis, rien n’a bougé.”
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Joséphine Scandale, responsable formation et gestion du personnel de Fiat France :
“Les chefs de service aiment bien avoir leur équipe sur place. Certains pourraient ne pas être favorables au travail à distance. Nous ne sommes pas organisés pour ce fonctionnement.”
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Franck Bodikian, DRH de DHL :
“Pour l’employé, le télétravail introduit une confusion entre lieu de vie privée et lieu de travail. Des métiers se prêtent mieux au travail à distance. On risque de créer de l’inéquité. Les 35 heures ont mis le télétravail au second plan. De plus, le travail éclaté ne correspond pas à notre culture d’entreprise.”
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