Transition énergétique du marché de l’automobile, prix des carburants qui explosent ou simple volonté de rouler dans un silence reposant… les raisons de passer à la voiture électrique sont nombreuses. Aujourd’hui, les véhicules zéro émission ne concernent pas que des modèles hors de prix. De nombreux constructeurs ont commercialisé ces derniers mois des véhicules plus abordables, vendus à moins de 30 000 euros. Il s’agit d’une somme importante, supérieure aux 26 789 euros dépensés en moyenne pour l’achat d’un véhicule neuf (source : L’Argus), mais qui constitue encore l’entrée de gamme en électrique.
Afin de vous aider dans votre réflexion, nous nous sommes appuyés sur l’ensemble des tests de voitures électriques réalisés sur 01net.com pour sélectionner les modèles les plus intéressants à moins de 30 000 euros.
Sous les 30 000 euros, le choix se restreint
Bien évidemment, notre but n’est pas de citer tous les modèles qui peuvent être achetés moyennant cette somme. Notre sélection se concentre sur les deux ou trois modèles les plus intéressants pour chaque catégorie, qu’il s’agisse des citadines, des compactes ou même des SUV.
L’autre parti pris de ce comparatif, c’est d’inclure directement le bonus écologique dans le prix final du véhicule. En effet, si l’on décide de se passer de ce coup de pouce de 6 000 euros offert par l’Etat, le choix se réduit considérablement et il n’est presque plus possible de trouver autre chose qu’une citadine. Enfin, à toutes fins utiles, précisons que le bonus écologique pour la voiture électrique n’est pas la seule aide qui peut être obtenue lors de l’achat d’un « VE ». En effet, en plus de la prime à la conversion pour la mise au rébus d’une vieille voiture (2 000 euros), plusieurs villes ou régions proposent des aides supplémentaires cumulables avec les bonus nationaux. En conséquence, les prix que nous avons retenus dans notre sélection, sont des tarifs indicatifs et il vous sera sans doute possible d’obtenir mieux, soit auprès d’une collectivité locale, soit en négociant directement avec votre concessionnaire.
Les petites citadines, un choix par défaut ?
Pour faire baisser le prix d’une auto, la solution la plus simple, c’est de réduire ses exigences… et la taille du véhicule. L’adage est tout aussi vrai en électrique où les petites citadines sont aussi les voitures zéro émission les plus accessibles. Pour autant, le nombre de citadines électriques abordables n’est pas exceptionnel, la faute en partie au groupe Volkswagen qui a décidé qu’il ne souhaitait plus investir dans un segment où les marges étaient finalement assez faibles. Exit donc l’excellente Seat Mi Electric, la Skoda Citigo iV ou encore la VW e-up, qui ont été retirées de la vente. Fort heureusement, une offre persiste et elle n’est pas dénuée d’intérêt.
Nos choix de citadines à moins de 30 000 euros :
Dacia Spring (12 400 euros)
Petite, dotée d’un design assez quelconque et limitée en performances, la Dacia Spring n’est la voiture électrique qui fait rêver les foules. Et pourtant, son prix devrait inciter à la réflexion. Pour un peu plus de 12 000 euros (bonus écologique compris), la citadine de la marque low cost de Renault remplit très bien son rôle : celui d’une voiture d’appoint ou de second véhicule du foyer. Pour peu que vous n’ayez qu’une utilisation urbaine de votre véhicule, la Spring pourra aussi faire l’affaire. Elle n’est pas un foudre de guerre (44 ch), pas une bête d’autonomie (environ 250 km), mais elle comble la majorité des besoins du quotidien pour un prix assez doux. Petit bonus : son design de SUV compact offre une position de conduite surprenante pour une citadine.
Point fort : le prix
Point faible : qualité de fabrication et polyvalence limitée
Rapport qualité/prix : 8/10
Citroën AMI (6990 euros)
C’est un petit OVNI sur quatre roues, mais un incontournable des routes françaises. Magré son style atypique et des performances limitées, l’AMI de Citroën a su s’imposer comme une nouvelle figure urbaine. Vendue à la Fnac, disponible sur abonnement au prix d’un forfait téléphonique ou en LLD, la citadine aux chevrons se contente d’un moteur de 6 kW et d’une mini batterie de 5,5 kWh (70 km d’autonomie). Bonus : elle peut être conduite sans permis puisqu’elle est considérée comme un quadricycle léger.
Point fort : son style à part
Point faible : ses performances
Rapport qualité/prix : 7/10
Renault Twingo ZE (20 450 euros)
La Twingo est une citadine par excellence. Petite, légère et très facile à manœuvrer, elle se devait de garder les mêmes caractéristiques dans sa version 100% électrique. Renault a réussi son pari, et propose une citadine équilibrée dotée d’une batterie de 22 kWh (un peu moins de 200 km d’autonomie) et d’un moteur de 82 ch (60 kW). Inutile d’espérer des accélérations folles malgré le poids contenu de l’engin. En revanche, côté sensations au volant, la Twingo ZE est un petit « kart » doté du meilleur rayon de braquage du secteur, ce qui en fait un régal à conduire, à condition toutefois de ne pas s’aventurer sur l’autoroute. Seul bémol : la version de base est assez chiche en équipement et la politique d’options de Renault fait grimper le prix de la Twingo à vitesse grand V.
Point fort : le rapport puissance/autonomie
Point faible : un prix encore élevé
Rapport qualité/prix : 7/10
Compactes et berlines : merci le bonus écologique !
Si l’offre existe chez les citadines, elle est beaucoup plus rare sur la catégorie supérieure. En effet, dans la famille des compactes et berlines, vous pouvez oublier les secondes si votre budget n’excède pas les 30 000 euros. Quant aux compactes, seul un modèle s’affiche à moins de 30 000 euros hors bonus écologique. Vous l’aurez compris, pour que cette section existe dans notre comparatif, le coup de pouce de l’Etat doit perdurer. En attendant, il permet de mettre la main sur quelques modèles intéressants dont les incontournables e-208 et Mégane. Néanmoins, notre top 3 n’est pas soumis aux chiffres des ventes.
Nos choix de compactes à moins de 30 000 euros :
MG4 : la reine du rapport qualité/prix (à partir de 22 990 euros)
La compacte de MG est sans doute le modèle qui risque de s’imposer dans bien des comparatifs de voitures électriques. Son tarif très agressif, à partir de 22 990 euros pour la version la plus accessible, est sans équivalent sur le marché. Dans cette configuration, c’est la seule voiture de notre sélection qui n’a pas besoin du bonus écologique pour s’afficher à moins de 30 000 euros. En revanche, le coup de pouce de l’état profite allègrement à ses deux finitions haut de gamme, Confort et Luxury. Celles si sont affichées respectivement à 32 990 et 34 990. Mais que propose la MG4 pour ce tarif. Tout simplement l’un des véhicules les mieux dotés de la catégorie avec un moteur de 204 ch, plus de 450 km d’autonomie avec sa batterie de 64 kWh et un équipement des plus complets digne de certains véhicules vendus deux fois plus cher.
Quant à la version d’entrée de gamme, la MG4 Standard, elle se contente d’un moteur et d’une batterie moins ambitieux (170 ch et 51 kWh), mais à ce niveau de prix, elle est tout simplement sans équivalent.
Point fort : le prix
Point faible : à ce prix ? aucun
Rapport qualité/prix : 9/10
Peugeot e-208 (26 000 euros) ou Opel Corsa e (25 900 euros)
D’un côté, la reine des ventes de voitures (toutes catégories confondues), en France, de l’autre son équivalent technique un peu moins réussi esthétiquement. En effet, sous leurs robes respectives, Peugeot e-208 et Opel Corsa e partagent la même plateforme technique et peu ou proue les mêmes caractéristiques. La française peut se targuer d’un design plus saignant et d’un habitacle très moderne basé sur la technologie i-cockpit, mais ces coquetteries se traduisent par un tarif légèrement supérieur à son homologue du groupe Stellantis. Qu’importe, notre préférence va tout de même à la compacte signée du lion qui a non seulement beaucoup de style, mais qui peut aussi se targuer d’une amélioration constante au fil du temps. En effet, fin 2021 des changements substantiels avaient permis à Peugeot d’améliorer l’autonomie de 340 à 362 km. Il se murmure déjà que la prochaine version de la compacte électrique va tutoyer les 400 km avec une seule charge.
Peugeot e208
Point fort : Design et habitacle
Point faible : prix élevé
Rapport qualité/prix : 8/10
Opel Corsa e
Point fort : Moins chère que l’e-208 pour des performances équivalentes
Point faible : Design et habitacle
Rapport qualité/prix : 7/10
Renault Zoé (26 700 euros)
Conseiller une Renault Zoé en fin de carrière au détriment d’une Renault Mégane E-Tech Electric plébiscitée par tout le monde ou presque, est-ce vraiment sérieux ? Si la moins chère des Mégane (29 200 euros), l’EV40, est presque au tarif d’une Zoé correctement dotée, c’est à la faveur de quelque compromis qu’il nous parait difficile d’accepter. En effet, la dernière compacte de Renault ne dispose pas de charge rapide et sa puissance de recharge est limitée à 7,4 kWh. En comparaison, la Zoé mise à jour en 2019 est certes moins pimpante, moins spacieuse et moins avancée technologiquement, mais elle dispose d’une autonomie supérieure et peut être chargée facilement. Nous vous l’accordons, en 2022, le choix d’une Zoé n’a rien de sexy, mais la pionnière des électriques françaises demeure tout de même un choix raisonnable et équilibré.
Point fort : rapport puissance/autonomie
Point faible : image vieillotte
Rapport qualité/prix : 7/10
Mention honorable : Si notre sélection pouvait s’étendre à plus de trois modèles, la Fiat 500, la VW ID.3, mais surtout la Renault Mégane E-tech EV40 auraient certainement figuré au palmarès. Cette dernière pourrait même prétendre à plus qu’une mention si elle n’était utilisée que dans un cadre urbain, et chargée uniquement au domicile.
SUV : les marques européennes absentes de la compétition
Si les berlines électriques à moins de 30 000 euros n’existent pas, les SUV au même tarif sont des oiseaux presque aussi rares. Un fait illustre cette situation étonnante : il n’y a aucun SUV électrique européen vendu à moins de 30 000 euros. Les constructeurs français n’ont pas encore investi ce marché. Quant aux allemands, ils visent des propriétaires plus fortunés avec des modèles premium. Une stratégie pour laquelle ont également opté Volvo, Tesla et Ford laissant un boulevard aux constructeurs asiatiques.
Hyundai Kona (30 400 euros)
Certes, il est vendu quelques centaines d’euros plus cher que la barre symbolique des 30 000 euros, mais quelque chose nous dit que si vous rendez visite à votre concessionnaire Hyundai, il saura faire l’effort nécessaire pour que le Kona puisse faire partie de notre sélection.
Dans sa version d’entrée de gamme, le SUV compact coréen dispose d’une petite batterie de 39 kWh. Celle-ci est certes trop réduite pour envisager un long trajet, mais pour tout le reste, le Kona dispose d’un atout maître : il est l’un des véhicules qui soigne le plus sa consommation. Celle-ci oscille entre 12 kWh/100km et 14 kWh/100 km tant que le conducteur reste loin de l’autoroute. Pour le reste, il bénéficie d’un équipement de qualité et d’un niveau de finition bien plus élevé que certains SUV européens vendus plus cher. En conséquence, il est notre premier choix logique dans la catégorie des SUV électriques.
Point fort : sa consommation
Point faible : le véhicule le plus cher de notre sélection
Rapport qualité/prix : 8/10
MG ZS EV (26 990 euros)
Fort de sa recette proposant des véhicules très bien équipés à des tarifs particulièrement agressifs, le chinois SAIC Motors, propriétaire de la marque MG, dispose sur le segment des SUV électriques des mêmes arguments que chez les compactes. Son modèle phare, le ZS EV est l’incarnation des principes qui ont permis à la marque de faire un retour remarqué sur la scène européenne en 2020. Avec un habitacle soigné, de nombreuses aides à la conduite et des performances plus qu’honnêtes, le ZS EV se présente comme le SUV électrique le moins cher du marché (la Dacia Spring n’a du SUV que l’apparence et ne peut être qualifié dans cette section).
Point fort : le prix
Point faible : design quelconque
Rapport qualité/prix : 8/10
Lire : notre essai du MG ZS EV
Mention spéciale : le cousin du Hyundai Kona dans le groupe coréen n’est autre que le Kia e-Niro. Bâti sur la même plateforme que notre SUV électrique préféré, il n’arrive derrière qu’en raison d’un design plus timide et d’un équipement plus chiche. En revanche, il est légèrement moins cher et peut donc constituer une alternative intéressante.
Breaks électriques : la pénurie
Difficile de faire catégorie plus menue que celle des breaks électriques puisqu’il n’y a que deux modèles sur le marché. L’un coûte 26 990 euros, l’autre 100 000 euros de plus. Ce n’est donc pas le Porsche Taycan Sport Turismo qui intégrera notre sélection, mais le plus modeste MG5.
Nos choix de SUV électriques à moins de 30 000 euros :
MG5 (26 990 euros)
SAIC Motors n’a pas été chercher bien loin pour imaginer son break électrique. Il a pris la partie technique de son SUV, le ZS EV pour l’adapter en break. La fiche technique et le prix sont presque des copier/coller du SUV électrique chinois, mais le MG5 a un avantage bien à lui : une aérodynamique qui lui permet d’abaisser sa consommation. Plus spacieux que le ZS EV, il est aussi pourvu d’une plus grande autonomie (jusqu’à 400 km dans des conditions optimales). Petit bonus : il est doté d’une fonction V2L permettant d’utiliser la batterie du véhicule pour charger ses propres gadgets, qu’il s’agisse d’un ordinateur ou d’un vélo électrique.
Point fort : le prix
Point faible : le design
Rapport qualité/prix : 8/10
Lire : notre essai du MG5
Les questions essentielles avant d’acheter une voiture électrique :
Quelle est la meilleure voiture électrique pas chère ?
La meilleure voiture électrique est celle qui répondra le mieux à vos besoins. Le choix, même sous les 30 000 euros, n’est pas aussi riche qu’en thermique, mais il est varié et vous permettra d’opter au choix pour une citadine électrique, un SUV ou même un break.
Quelle est la voiture électrique la plus fiable ?
Pour l’instant, aucun constructeur de voiture électrique n’est parvenu à se démarquer pour la fiabilité de ses modèles. De manière générale, les véhicules électriques disposent de moins de pièces mécaniques et sont moins sujets aux pannes. À l’inverse, ils sont plus dépendants de leur système logiciel.
Quelle est l’autonomie des voitures électriques à moins de 30 000 euros ?
L’autonomie varie en fonction des modèles et donc des prix. Pour 30 000 euros, un consommateur exigeant devrait espérer un minimum de 300 km d’autonomie. Mais il devra aussi faire attention à la vitesse de recharge qui est un élément presque aussi important que la batterie.
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10 modèles :
3 MG (Chinois / Anglais)
1 Hyundai (Coréen)
1 Dacia (Groupe Renault)
2 Renault (Français)
1 Citroën (Français)
1 Opel (Groupe Stellantis)
1 Peugeot (Français)
On résume, en réalité, il y a plus d’offre de véhicule électrique français que de véhicule étranger (dans la tranche qui permet d’avoir une aide déterminé par le gouvernement)
Quand est ce qu’on aura réellement le choix du véhicule et pourquoi ne pas mettre le seuil maximum à 60 000€ au lieu de 47 000€ si on veut réellement que toute la population y passe ? C’est tellement idiot de vouloir absolument que les gens achètent des voitures électrique française, elles ne sont pas totalement au point étant donné que nous avons 10 à 15 ans de retard sur les autres (notamment les coréennes) et ne correspondent pas toujours au besoin des gens…
Les constructeurs français (et européen en général) n’ont pas fait le même cheminement vers l’électrification que les constructeurs asiatique comme Toyota ou Hyundai.
Hyundai et Toyota c’est des décennies de développement et d’expérience avant de sortir un full électrique (et des décennies passé à vendre des véhicules hybride aussi, la prius est sortie en 1995)
La première voiture hybride de Renault ? 2020…
La première électrique de Renault ? Zoé en 2012. On est à l’inverse du cheminement logique (et la Zoé n’est pas un exemple de fiabilité, ni la Clio Hybride)
La première hybride de Toyota ? 1995 (Elle est un exemple de fiabilité)
La première électrique de Toyota ? 2021 (Elle a subi un rappel récemment ce qui prouve qu’il faut bien du temps même aux meilleurs même après des années de développement)
Si les voitures françaises étaient réellement un exemple de fiabilité, les professionnels de la route achèteraient tous ça. C’est l’un des meilleurs signe de fiabilité sauf qu’ils ne les achètent que parce qu’elles sont pas chère (et je sais de quoi je parle, je suis dans le milieu)
J’ai acheté une zoé il y a 6 ans, elle a 180000 km, et elle a un avantage que n’ont pas les coréennes que vous dîtes en avance, elle recharge à 22Kw, ce qui est un avantage indéniable, car 90% des bornes en France sont des 22Kw en triphasé (et souvent gratuites chez Leclerc et Ikéa par exemple) les coréennes ne savent pas faire, mon collègue a acheté un Kia et il est dégouté, nous avons une borne à la société et il est limité à 7Kw, ma vielle Zoé recharge donc 3x plus vite sur ces bornes majoritaires, 1h au lieu de 3, et ça personne n’en parle, les régions installent toujours des bornes 22Kw car elles sont plus faciles à mettre en place, et beaucoup moins coûteuses que des bornes à 50Kw dont les coûts de charge sont souvent double, moralité les coréens sont peut-être en avance, mais pas dans notre pays…
L’installation, sur l’espace public, de bornes 22kW constitue, selon moi, une regrettable erreur. Ces bornes sont beaucoup trop lentes pour recharger des véhicules de 60 ou 80kW. Personne n’a envie de laisser sa voiture 3 ou 4h sur un trottoir/parking public pour la recharger à 100%. Sur l’espace public, il faut des bornes les plus rapides possibles. La recharge en courant alternatif 7, 11 ou 22kW, ca va bien dans un parking privé ou la voiture pourra dormir toute la nuit.
Il manque tout de même la Eup 2 dans ce comparatif.Et donc il y a bien une erreur dans le début de l’article la Eup est toujours commercialisé et avec une version plus autonome et qui concurrence la twingo .
Il est prudent de ne pas généraliser. Si certains se réjouissent de profiter d’une charge AC pouvant monter à 22KW, personnellement je me satisfait avec ma voiture coréenne (KIA EV6) d’une charge limitée à 7Kw. Personnellement, j’ai en effet la possibilité de recharger ma voiture à la maison et sauf à avoir un abonnement tri-phasé, je suis de toute façon limité à 7KW par ma wall-box et mon abonnement EDF. En revanche, j’apprécie de pouvoir recharger jusqu’à 240KW avec ma coréenne sur des super chargers et de m’arrêter sur des aires d’autoroute juste le temps de faire une pause comme avant avant ma voiture thermique…
Bref, un avantage pour les uns ne l’ait pas forcément pour les autres…
Reste qu’en terme Si on pouvait tout avoir sur une voiture à moins de 30000€, d’efficience, les voitures coréennes ont effectivement une longueur d’avance et cela est malheureusement pour nos constructeurs français un constat indéniable.
Ma zoé a la plus grosse batterie , elle moins chère , de bonne taille moteur fait en france et elle est assemblée en france .
Si vous souhaitez une diminution de vos revenus , achetez asiatique ou autre . Les allemands achetent allemand , les japonais japonais , les chinois chinois ..
Je suis trop bien avec mon etron 55 quatro full option…