La raison officielle, donnée par Matignon, est l’importance économique que représente IBM en France avec ses 14 000 salariés, ses centres de recherche et son siège européen implanté à Paris.Cette rencontre s’inscrirait ainsi tout naturellement dans le mouvance des entretiens déjà menés par le numéro un d’IBM avec Tony Blair, il y a déjà plusieurs mois.Objectif affiché : discuter, de façon générale, des perspectives du secteur des technologies de l’information et de la communication. Il semblerait toutefois que quelques points plus précis doivent être abordés au cours de cette discussion.Le premier concerne la dynamique de l’administration française en matière de nouvelles technologies, en particulier les questions liées à l’administration électronique. Cette dernière entrant actuellement, avec le Pagsi (Plan d’action gouvernemental pour la société de l’information), dans sa deuxième phase de généralisation. Le choix de l’Administration française pour les logiciels libres et les récents engagements de Big Blue en leur faveur, constituant de fait un réel terrain d’entente.L’e-procurement est un deuxième point sur lequel les représentants gouvernementaux et économiques devraient partager leurs avis.Autre sujet enfin, la formation et la recherche, et plus précisément l’enseignement supérieur et l’e-learning, un thème cher au CEO d’IBM.
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