La 5G devrait être lancée d’ici la fin de l’année en France en la mixant avec de la 4G. La seconde étape consistera à se reposer sur plusieurs canaux de fréquences 5G pour encore plus de performances. Le fabricant de puces Qualcomm et l’équipementier Ericsson annoncent avoir terminé leurs tests d’agrégation de fréquences en Chine et en Suède avec différents constructeurs de smartphones pour s’assurer de l’interopérabilité de leurs solutions.
Plus de débit et de capacité
Comme pour la 4G +, la 5G va pouvoir agréger plusieurs porteuses exploitant différentes bandes de fréquences, et notamment les fameuses ondes millimétriques. L’avantage de ce procédé sera d’utiliser davantage de largeur de spectre, ce qui a pour effet d’augmenter le débit et de réduire le temps de latence pour l’utilisateur. C’est un peu comme si on créait de nouvelles voies sur l’autoroute pour fluidifier le trafic. Mais ce n’est pas tout. « Il est prouvé que cela augmente considérablement la couverture et la capacité », affirme aussi Ericsson dans un post.
« Cette capacité 5G déterminante devrait être largement déployée par les opérateurs du monde entier en 2021 », estime Qualcomm. Cela ne devrait pas être le cas en France où seule la bande 3,5 GHz sera attribuée dans un premier temps.
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