Signature électronique
Pour pouvoir signer électroniquement un document, une transaction, il faut que cela soit : premièrement autorisé et deuxièmement, sécurisé.
Une loi autorisant la signature électronique et lui donnant la même valeur que la signature papier a été votée cette année dans de nombreux pays, notamment aux Etats-Unis et en France, sans compter les directives de Bruxelles qui vont dans ce sens.
On attend simplement les décrets d’application et ce ne sera pas une mince affaire. Car une signature électronique sûre met évidemment en ?”uvre des procédés de chiffrement et d’authentification, sur lesquels il va falloir trancher. Or, les spécialistes ne sont pas tous d’accord sur le meilleur procédé à utiliser! Pour une fois, ce sont les politiques qui vont vite et les techniciens qui freinent!Start-up
En américain, start-up veut tout simplement dire au départ ” création d’entreprise “. Quand il symbolise un type d’entreprise, il a tendance à s’écrire de plus en plus en un seul mot, sans le trait d’union originel. Toute entreprise qui se crée un beau jour à partir de rien est une start-up. ” Jeune pousse ” qui est le terme officiel français prendra-t-il sa place? Pas sûr !
Mais, aujourd’hui, qui dit ” start-up ” sous-entend ” dans les nouvelles technologies autour d’Internet. “. Autrement dit, start-up est un raccourci de dot-com start-up !
La fièvre des créations et des introductions high-tech en bourse sétant un peu calmée, les premières faillites ayant eu lieu, le mot perd un peu de sa force mythique. On parle de start down, un peu comme un soufflé qui retombe et il y a même un site spécialisé dans le conseil aux start-up en faillite : startupfailures.com. Nicolas Hall, le fondateur de ce site américain (en français startupenfaillite.com), connaît bien son sujet : il a fondé trois start-up qui se sont toutes traduites par des échecs !
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