Depuis sa fondation en 1988, Profession Politique
, est une publication bien notée dans les cercles du pouvoir, pour sa bonne connaissance du terrain politique.Diffusée auprès du personnel politique, de l’administration, des acteurs de la vie locale et des entreprises (privées et publiques), la version papier de Profession Politique revendique 100 000 lecteurs.Et jusqu’ici, le site Internet Professionpolitique.com, nourri d’une base de données de 100 000 références accessible sur abonnement, affichait une audience de 20 000 visiteurs mensuels.Aujourd’hui, le groupe dirigé par Pierre-Marie Vidal entend passer d’un auditoire microcosmique à un lectorat d’amateurs passionnés.Pour y parvenir, Profession Politique ouvre un portail plus grand public, et troque son .com pour une toute nouvelle URL en .info.Au programme de cette nouvelle version de la publication, les nominations, le compte-rendu du Conseil des ministres, et tout ce qui, de près ou de loin, agite les allées du pouvoir. Mais aussi une rubrique 100 % présidentielle où l’on pourra retrouver, pêle-mêle, des brèves de campagnes et les programmes de chacun des candidats, ordonnés de façon thématique.L’approche privilégiée n’est pas sans rappeler des sites américains comme Democracy Network, ou Politicsonline.Aux Etats-Unis, le dernier scrutin présidentiel a en effet été marqué par l’irruption de l’Internet dans le débat électoral.Il y a quelques mois, à l’issue du second forum sur la démocratie électronique qui se tenait à Issy-les-Moulineaux, Profession Politique avait entrepris de créer e-Public, un club de réflexion regroupant acteurs ou des observateurs de l’usage des NTIC dans le domaine public.Lors de la première réunion, l’invité d’honneur n’était autre que Phil Noble, le fondateur de PoliticsOnline.
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