Un peu comme l’Olympique lyonnais en championnat, la série des Pro Evolution Soccer (PES) se contente cette année de capitaliser sur ses valeurs et de gérer son avance sur son concurrent de toujours, Fifa. Cette année, donc, peu de
changements à signaler : intelligence artificielle des adversaires un peu plus relevée, possibilité de se jeter au sol pour simuler une faute inexistante et nouvelle palette de dribbles. C’est peu pour le fan qui suit la série depuis plus de
dix ans, mais largement satisfaisant pour le joueur nouveau venu. La prise en main est rapide et, en quelques minutes, on parvient à effectuer des gestes défensifs ou offensifs spectaculaires. PES reste une fois de plus la meilleure simulation
de foot, mais pour combien de temps encore ?
Profondeur de champs Les passes en profondeur constituent une arme essentielle. ce type de passe, qui a pour but de lancer un attaquant dans le dos des défenses, apporte beaucoup d’occasions de but.
Simulation dans la simulation Nouveauté cette année, la possibilité de simuler une faute! Comme dans la réalité, il est possible de se jeter à terre en feignant une faute imaginaire…Bel esprit!
Privé de sortie Si l’intelligence des joueurs a été revue à la hausse, celle des gardiens en revanche, reste à prouver. Leur sortie est souvent hasardeuse…
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