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Prince of Persia, l’âme du guerrier : va, cours, vole…

Vingt ans, déjà, que cette réalisation magnifique tient en haleine à travers le temps, les lieux et les péripéties.

Dernier volet d’une saga inaugurée voilà 20 ans, l’Ame du guerrier est le jeu de plates-formes le plus réussi de ces dernières années. Réalisation époustouflante, maniabilité intuitive, durée de vie
colossale… difficile de trouver un défaut, hormis peut-être une difficulté importante dans les derniers niveaux.Le prince que l’on incarne explore un palais à la recherche d’un sablier pouvant altérer le cours du temps. Certains obstacles étant infranchissables, il lui faudra voyager dans le temps pour les surmonter et explorer les mêmes
lieux, tombés en ruines. L’agilité du prince est extraordinaire. Il court le long des murs, saute de colonne en terrasse, se laisse glisser au sol le long de tentures ou franchit d’insondables précipices avec une aisance égale.Comme dans les premiers épisodes, les pièges mortels sont multiples. Réflexes et sang-froid sont indispensables pour se sortir des situations les plus délicates. Les ennemis sont nombreux, ce qui permet au prince d’exprimer son
art du combat. A l’aide de deux touches, on effectue les plus spectaculaires chorégraphies martiales. Et si l’action devient trop intense, on peut arrêter le cours du temps pour éliminer les adversaires les plus tenaces.

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Philippe Fontaine