Le garde des Sceaux, Pascal Clément, a assisté le 1er août à la première distribution d’un bracelet électronique d’un nouveau type. Destiné aux détenus sous libération conditionnelle, il devrait leur permettre
d’être mobiles et non plus assignés à domicile comme c’était le cas auparavant. La justice doit définir un ‘ lieu d’assignation ‘, tel que son domicile, où le détenu doit être présent à des heures
précises, ainsi que des ‘ zones d’exclusion ‘, où il lui est interdit de se rendre (lieux sensibles, domicile et lieu de travail de ses victimes) et des ‘ zones
tampons ‘, à l’approche de ces zones d’exclusion, indique l’AFP.
Le contrôle de ce dispositif est confié à une société privée. Les mouvements du sujet peuvent être suivis en temps réel grâce à un système GPS de positionnement par satellite. En cas de non-respect des zones, la société privée prévient
ladministration pénitentiaire.
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