Briefcam : des villes condamnées à effacer des données acquises grâce à la reconnaissance faciale
Le 14 novembre dernier, le média Disclose révélait qu'un logiciel de reconnaissance faciale, commercialisé par Briefcam, serait utilisé en dehors de toute procédure légale par la police depuis 2015. Quelques jours plus tard, la justice a contraint 11 communes de la communauté de communes Cœur Côte Fleurie (dont Trouville et Deauville) à supprimer les données personnelles acquises via ce logiciel. La ville de Nice a, elle, été relaxée : cette dernière n'utilise plus Briefcam aujourd'hui. La décision qui concerne Roubaix devrait tomber sous peu.