Sandrine Estrade-Boulet est joueuse. Dans la rue, au lieu de banales bornes anti-stationnement, elle voit des soldats au garde-à-vous ou des danseuses en tutu. Un ordinateur abandonné est, pour elle, la tête d’un Dark Vador blanc. A parcourir son site et à feuilleter ses photomontages, on replonge un peu dans l’enfance. Quand tout avait un sens un peu magique, une signification invisible au regard des adultes. Quand trois trous représentaient forcément deux yeux et une bouche et que tous les nuages ressemblaient à des animaux ou à des bons-hommes bouffis. Une bouffée de poésie à même le bitume. Délicieuxwww.sandrine-estrade-boulet.com
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