La voici enfin la belle et grande boîte blanche de Sony. La PlayStation 5 est enfin dans nos murs et, plutôt qu’un unboxing, nous vous proposons un tour du propriétaire, tout en clichés. Nous préciserons que c’est la version avec lecteur optique que nous avons reçue, vendue à 500 euros dès le 19 novembre prochain.
Dans le carton se trouvent le manuel d’utilisation, la carte de garantie, la console, son socle, une manette DualSense et plusieurs câbles :
- un USB Type-C/USB Type-C pour recharger la manette,
- un HDMI à relier entre la console et le TV ou l’écran,
- un cordon secteur, l’alimentation étant incorporée à la console.
Nous avons commencé par positionner la console à l’horizontale pour enfin nous rendre compte de la place qu’elle prendrait dans un meuble TV. Elle va en occuper, c’est sûr. Nous nous y attendions. Pour repère, petit clin d’oeil, nous avons placé une pièce de 500 yens (sensiblement le même diamètre qu’une pièce de 1 euro).
On lui fait faire un petit tour sur elle-même pour apprécier à la fois la manière dont le socle est arrimé à la console (un peu léger) et, surtout, pour voir la connectique arrière.
Deux prises USB 3 plein format, une prise Ethernet et une sortie vidéo HDMI. Invisible sur la photo, la prise en forme de 8 qui accueille le cordon d’alimentation.
La grille laisse aussi entrevoir des morceaux de l’imposant système de refroidissement de la console, découvert lors de son démontage officiel.
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Pour passer la console en position verticale, on déclipse le socle, on fait tourner la base sur elle-même et un petit compartiment s’ouvre. S’y cache une petite vis, à désengager de son logement.
Sous la console, il suffit de faire sauter le petit capuchon pour dévoiler l’orifice qui va accueillir la vis de serrage. On positionne le socle, la vis, on s’arme d’un tournevis plat et en 6 tours, l’affaire est dans le sac. Pour éviter de perdre le capuchon, vous pouvez le clipser dans un trou situé dans le même compartiment que la vis (le petit point noir dans la trappe).
Une fois la console mise en position verticale, on lui tire le portrait et on s’approche de son profil le plus… bas. Le petit bouton de mise sous tension se trouve dans l’épaisse armature en plastique noir (qui est brillante et qui marque très vite !) ainsi que la commande d’éjection du lecteur de Blu-ray 4K.
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La manette, la fameuse DualSense, mérite qu’on s’attarde sur son cas. Première prise en main : on retrouve ses marques avec l’actuel Dual Shock 4 mais plusieurs choses ont changé. Le revêtement tout d’abord, l’inclinaison du plateau ou encore, la sensibilité et les sensations procurées par les gâchettes. Mais nous y reviendrons lors de nos tests.
Le revêtement a beaucoup fait parler de lui : son plastique en relief est composé d’une multitude de petits logos “X, triangle, carré et rond”, les sigles des boutons frontaux du contrôleur et qui sont bien connus des fans de PlayStation.
Sony – tout comme Microsoft – est passé à l’USB Type-C. Sauf que dans le cas de Sony, la batterie de la manette DualSense est intégrée et inamovible. MS, lui, a préféré conservé le système de trappe qui cachent deux piles AA ou dans lequel on peut placer un bloc d’alimentation (à acheter à part) rechargeable.
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Enfin, on précisera que la texture des deux joysticks a quelque peu changé. Plus granuleuse, la matière en caoutchouc nous paraît de bonne facture, parée pour résister à la transpiration et aux frottements frénétiques des pouces à leurs surfaces.
Bien, il ne nous reste plus qu’à presser le logo PlayStation pour démarrer la console et commencer nos tests, c’est donc ici que se termine notre premier tour du propriétaire, mais nous reviendrons vite vous faire part de nos premières impressions. Restez connectés !
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